Quelques moments de bonheur
Datte: 26/05/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
Oral
fsodo,
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portrait,
regrets,
Auteur: Abdul, Source: Revebebe
... sa femme, qu’il avait entretenue pendant tant d’années, avait fait malgré tout le choix de le quitter et il sombra dans une profonde dépression. Un soir de janvier, en empruntant la route qui le ramenait de son travail, il perdit le contrôle de sa vieille bagnole et il se retrouva à l’hôpital dans un piteux état. Après de nombreuses semaines de convalescence, mon père put enfin réintégrer sa maison, toutefois handicapé par une invalidité partielle qui l’autorisa à ne plus travailler.
Évidemment, ces événements eurent un impact déplorable sur mon année de seconde et à la fin du second trimestre scolaire, le jour exact de mes seize ans, je dus faire un trait sur mes études et retourner vivre avec mon père pour m’occuper de lui.
Cette situation dura plus de deux ans pendant lesquels j’enchaînai quelques petits boulots et autres missions d’intérim pour apporter un complément de revenus dans les finances familiales, jusqu’à ce que Richard, que j’avais croisé plusieurs fois à la caisse du supermarché, décidât un soir de m’attendre à la sortie de mon travail pour me proposer de prendre un verre en sa compagnie.
C’était la première fois qu’un homme m’invitait et même s’il était assez laid et bien plus vieux que moi, j’acceptai de l’accompagner dans le bar situé à proximité du supermarché.
Je ne peux pas dire que je fus subjuguée par son discours, mais j’étais malgré tout impressionnée par son âge et ce qu’il me raconta au sujet de son existence. Si bien que lors de ...
... notre quatrième rendez-vous, profitant de mon innocence, il réussit à me convaincre de le suivre chez lui.
Une fois arrivés dans sa petite maison aux murs décrépis et à la décoration sans charme, il me conduisit dans sa chambre où il prit à peine le temps de me déshabiller avant de se coucher sur moi sans prononcer le moindre mot.
Notre étreinte fut brève et après quelques allers-retours dénués de toute considération pour mon plaisir personnel, Richard se raidit avant de vider le contenu de ses couilles entre mes cuisses. Lorsqu’il découvrit la tache de sang sur le drap, il me regarda vaguement surpris et se dirigea dans la salle de bains pour se laver les parties.
Alors que j’espérais que le moment qui suivit lui permettrait de faire preuve d’un peu de tendresse à mon égard, Richard se contenta de poser une grande serviette de bain sur le drap taché, puis s’allongea à mes côtés et s’endormit presque aussitôt en ronflant bruyamment, me laissant le cœur lourd et le corps sali par son égoïsme. Mon seul réconfort fut dans la certitude que cette nuit allait être la seule que je partagerais avec cet homme.
Et en effet, l’intense déception consécutive à ce coït déprimant n’était plus qu’un désagréable souvenir lorsque le médecin que je finis par consulter en raison d’un retard anormal de règles m’expliqua que j’étais enceinte depuis au moins huit semaines.
Totalement désemparée, je me résignai à prévenir Richard sans dire un mot à mon père. Lorsque mon amant eut ...