1. Le château


    Datte: 15/05/2025, Catégories: grossexe, voyage, Oral fsodo, hgode, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme fouetfesse, pastiche, Humour fantastiq, contes, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... avec le pyjama fin, on ne cache pas grand-chose.
    
    — Faut pas rester comme ça, mon pauvre monsieur, vous allez mal dormir après. Laissez-moi faire, je vais vous arranger vite fait, mais ne dites rien à la patronne, hein ?
    
    Cette grosse dame s’agenouille devant moi avec plus de souplesse que je ne l’en aurais cru capable, descend d’un geste mon pantalon et prend aussitôt les choses en main, si je puis dire.
    
    — C’est un bel outil que vous avez là, mon petit monsieur. Merci de me le confier.
    
    Elle enfourne ma bite dans sa grande bouche de gourmande et me suce comme une professionnelle. Comme elle l’avait annoncé, elle m’arrange vite fait. Je suis dans un état de nerf proche de l’hystérie et j’éjacule très vite, sans même la prévenir, mais je crois qu’elle s’y attendait. Elle avale et me lèche comme si c’était de la crème fouettée, passant et repassant sa langue sur mon gland pour qu’il ne reste rien.
    
    — Et voilà, mon bon monsieur. Et si vous en voulez plus, on peut passer dans ma chambre, je ne dirais pas non, vous êtes plutôt vaillant.
    — Oh, c’est gentil, madame Sally, je vous remercie mais tout cela est très éprouvant et je crois que je vais aller dormir.
    — Y a pas de mal, monsieur le voyageur, dit-elle avec le sourire. Moi, j’aime rendre service quand je peux. Bonne nuit !
    
    Je remonte un étage et au moment de prendre l’escalier qui mène au second, je constate que du même palier, un autre escalier monte aussi. Je regarde autour de moi, j’écoute les bruits mais je ...
    ... suis seul et le château est silencieux. Je prends alors l’escalier d’en face, espérant arriver dans l’autre aile et trouver la chambre d’Alicia. Mes motivations sont confuses et je n’essaie pas de les mettre au clair. Un couloir semblable au mien mène à une rangée de portes. Si sa chambre était juste en face de la mienne, est-ce un hasard ? Alors je pense que je me trouve devant la bonne porte. Je frappe, le cœur battant à cent à l’heure. Il y a un long silence puis la porte s’entrouvre. C’est bien Alicia qui apparaît.
    
    — Mais que faites-vous là, Monsieur Ness ? me dit-elle de sa voix flûtée.
    — Je venais voir si vous alliez bien et vous parler. Je peux vous aider.
    — Bon, entrez, répond-elle contrariée. Si on vous voyait là, vous imaginez…
    
    Non, je préfère ne pas imaginer. Mais je suis son conseil et entre vite avec elle. Elle referme la porte et tourne la clé dans la serrure.
    
    — Je n’ai pas le droit de m’enfermer, mais avec vous à l’intérieur…
    — Alicia, vous êtes prisonnière ici, on vous torture, il faut faire quelque chose. Je viens vous proposer mon aide. Nous pourrions filer tous les deux dans la nuit, je m’occuperais de vous.
    — Vous êtes gentil, Monsieur Ness, mais ce n’est pas une proposition bien sérieuse. Premièrement, si nous nous enfuyons ensemble cette nuit, on nous retrouverait sûrement noyés demain matin. Vous n’avez pas entendu le vent ? Deuxièmement, vous vous occuperiez de moi, dites-vous. Vous avez quel âge, monsieur Ness ?
    — Quarante ans mais…
    — ...
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