1. Le château


    Datte: 15/05/2025, Catégories: grossexe, voyage, Oral fsodo, hgode, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme fouetfesse, pastiche, Humour fantastiq, contes, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... Et moi, j’en ai dix-neuf. Je ne sais pas comment vous imaginez cela. Et troisièmement, ma vie est ici, avec le Prince et Madame. Je ne veux pas fuir.
    — Mais votre mère vous fouette !
    — Madame n’est pas ma mère.
    — Ah ? Mais alors, qui est-ce ?
    — C’est Madame, c’est tout. Elle a toujours été là pour le Prince et pour moi. Et je ne suis fouettée que si je suis mauvaise. Si je suis bonne, je suis récompensée. Mais parfois, j’aime être mauvaise, hi hi.
    — Vous semblez bien le prendre. Pourtant, ce sale type…
    — Oh Bridge ! Il fait tout ce que Madame lui demande et la sodomie n’est pas si terrible, vous savez ? Vous avez déjà essayé ?
    — Non mais, vous ne vouliez pas, il me semble, vous pleuriez.
    — C’est à cause de vous. Je ne voulais pas que vous regardiez tout cela. C’était humiliant. Et maintenant, vous êtes là dans ma chambre. C’est embarrassant. Vous savez que je suis vierge, n’est-ce pas ? Il est hors de question que…
    — Non, non, je ne venais pas pour ça. Je veux vous aider.
    — Eh bien, je sais comment vous pouvez m’aider. Tenez, dit-elle en me tendant un pot de crème. Cet onguent calme délicieusement et il aide la cicatrisation. Pouvez-vous m’en passer une couche, s’il vous plaît ?
    
    Sans attendre ma réponse, elle fait passer sa nouvelle chemise de nuit par-dessus sa tête, elle est bien sûr nue dessous, et elle s’allonge sur le ventre. Ses fesses rebondies sont striées de boursouflures violettes. C’est un spectacle pénible, et excitant. Je commence à prendre un peu ...
    ... de crème au bout de mes doigts et les passer doucement sur les parties abîmées.
    
    — C’est frais, c’est bon, dit-elle d’une voix troublée et qui me trouble.
    — Allez-y plus franchement, ajoute-t-elle, sinon on va y passer la nuit. Prenez l’onguent à pleines mains et massez-moi bien ce vilain derrière.
    
    Bon, je fais ce qu’elle me demande, j’empoigne ses petites fesses avec mes grandes mains et je masse et je bande et je crois que je vais perdre la tête, mais heureusement, elle m’arrête.
    
    — Voilà qui était très bien et je vous en remercie. Et maintenant, filez dans votre chambre et n’en sortez plus jusqu’à demain matin.
    
    Elle m’accompagne à la porte, toute nue avec ses petits seins qui s’agitent et son pubis parfaitement lisse, elle me pose une bise sur la joue et me pousse dehors, referme la porte et me laisse seul dans le silence du couloir. Je regagne donc ma chambre, me couche, regarde le livre qui m’amusait tout à l’heure. Je n’ai plus du tout envie de le lire. J’éteins la lumière et je m’endors.
    
    Je me réveille et on frappe à la porte. Je regarde par la fenêtre, c’est à peine si le jour point. Il doit être autour de quatre heures.
    
    — Dépêchez-vous de venir, Monsieur ! Madame vous attend.
    
    C’est la voix de Bridge. Je suis sûr qu’ils sont au courant pour ma visite chez Alicia. Je le suis tremblant à travers les interminables couloirs et nous arrivons dans la grande salle. Le feu est mort dans la cheminée, Madame Moorland a un châle sur les épaules mais ce n’est ...
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