Le château
Datte: 15/05/2025,
Catégories:
grossexe,
voyage,
Oral
fsodo,
hgode,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
fouetfesse,
pastiche,
Humour
fantastiq,
contes,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... pourrait-elle le supporter ?
— C’est à vous Bridge, dit Mme Moorland.
L’homme à tout faire que je n’avais pas regardé de tout ce temps s’est déshabillé et il avance nu vers sa proie. Il bande et sa queue est énorme. Je dois dire que je n’ai jamais vu une bite pareille. Pourtant, j’ai joué au rugby et dans les vestiaires, j’ai vu de solides gaillards se déshabiller mais je n’ai jamais vu ça, un vrai pieu, ce n’est pas une image. Je ne comprends pas, sa mère dit que la petite est vierge et elle va la livrer à ce monstre.
Mais le vilain bonhomme sait ce qu’il fait. Il saisit la pauvre poupée par les hanches, présente sa massue devant le petit trou de la belle et d’un coup de reins démoniaque, il la pénètre. On voit son engin rentré d’au moins un tiers après ce premier essai. Il ne lui en faudra que trois pour être fiché en elle jusqu’à la garde. Alicia a hurlé à chaque coup de boutoir mais ensuite elle supporte la queue en elle en silence.
— Qu’en penses-tu, Alicia ? demande alors madame Moorland.
— Je suis bien punie, Madame, je l’ai mérité et je ne recommencerai pas.
— C’est bien. Mais tu comprends qu’il faut maintenant que Bridge se soulage.
— Oui, Madame, évidemment, c’est ce qu’il doit faire.
Et le petit homme poilu qui s’était tenu immobile un instant commence alors à aller et venir dans ce conduit étroit, sans précaution, avec une vigueur qui secoue la belle comme si elle était sur une montagne russe. Elle gémit, il grogne, elle gémit plus encore, c’est ...
... curieux, on dirait presqu’elle y prend du plaisir. Il accélère, il l’attrape d’une main par ses longs cheveux blonds pour mieux se tenir. Le Prince est toujours aussi blanc mais la cuisinière ne regarde plus par terre, elle semble fascinée par le spectacle.
Finalement, tout s’arrête. Le gnome se fige, sort son membre et éjacule sur les fesses blanches de la belle, plusieurs longues giclées qui lui recouvrent le dos et les cheveux.
— Allons, nous pouvons tous aller nous coucher. Monsieur Ness, je vous remercie de votre collaboration. Il fallait que vous soyez là pour que cette petite cruche comprenne l’importance de sa faute. Nous ne dînerons pas ce soir, la scène m’a coupé l’appétit. Mais vous qui avez beaucoup marché, accompagnez Sally à la cuisine, elle vous trouvera quelque chose.
J’ai l’estomac noué mais je suis la cuisinière jusqu’au rez-de-chaussée. Elle me sort du pain et du fromage et elle s’assoit en face de moi tandis que je commence à manger.
— Faut manger, mon bon monsieur, vous êtes tout pâle. C’est que ça travaille des scènes pareilles. Même moi qui vit ici depuis plus de trente ans, je n’arrive pas à m’habituer.
— Parce que ce n’est pas la première fois ?
Elle fait un geste de la main et elle soupire ; je n’ose interpréter son geste. Puis elle se lève et me sort du pudding.
— Oh mais ça vous a fait de l’effet où je pense, cette fessée ! dit-elle en passant à côté de moi.
Oui, je dois l’avouer, la séance m’a fait bander comme un taureau et ...