Une fièvre de cheval
Datte: 27/04/2025,
Catégories:
f,
fh,
noculotte,
ffontaine,
fsodo,
délire,
Humour
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... robe sur la chaise aussi. Son autre main se concentrant sur l’autre mamelon, tout aussi rose que son petit frère. Et que la robe aussi.
Fanch s’était retiré du ventre de sa maîtresse et fouillait le sexe ouvert et mouillé de la jolie Huguette.
— Je vais t’faire l’coup du point G, ma jolie. Attends…
— L’quoi ? Oh non… Fanch continue… Allez… Baise-moi encore !
— L’point d’Gräfenberg… Tu vas voir ça ! C’est ma spécialité.
— Tu t’appelles Fanch Gräfenberg ?
À peine les doigts du cowboy dans sa fente béante, mouillée et rose, la douce Huguette se cambrait et ruait des quatre fers comme une jument rétive.
— Oh l’point oui ! J’veux l’point. Oh oui. Oh ! Oh Jean ! Oh putain l’point… Aaah Fanchoooh…
— Tu mérites, oh tu mérites…
— T’es Allemand, Fanch ? T’es Germain ? Tu… Tu t’appelles Germain Gräf… Beeerg ? Oooooh putain… J’mérite quoi ? Oh j’mérite quoooi ? Oh oh oh… Non… Ouiii. Oh l’point Fanch !
Huguette, l’air totalement effaré, hurla presque en aspergeant les doigts du cowboy.
— Ooooh ! Oh putain… Qu’est-ce que…
— Oh oui p’tite salope… Tu mérites toi ! Oh oui, tu mérites ! T’avais l’gicleur encrassé, hein ! T’en mets partout, p’tite cochonne. Une vraie patinoire !
— Aaaaah… Aaah… Aaaaah…
Des giclées expulsées en longues saccades dures. Des jets puissants arrosant le drap. Blanc, le drap. Pas rose.
— Oooaaah ! Oh, c’est bon. Oh que c’est bon… Jamais je…. Ooooooh !
— T’es bonne toi ! Oh oui, t’es bonne !
— Bouffe-moi la figue Fanch… Bouffe… ...
... Aaaaaaah…
— Tu mérites salope… Oh oui, tu mérites !
— Oh Fanch… Ma parole t’es plusieurs ou quoi ? Oh… Patinoiiire… C’est quoi Fanch… Oooh Germain… J’mériiite quoi Jean ? J’mérite quoooi ?
— M’mm… Ta p’tite chatte toute mouillée… Ton œillet tout serré.
La chatte rose comme la robe. Rose sombre, l’œillet serré.
— Oh Fanch ! Ta bite aussi ! Tout, que j’veux. Oh Fanch, oh… Oooohaaaahoooh… Donne-moi ta queuuue… Oh Fanch, ooooh… J’veux ta grosse… Aaaah !
Charmante, cette Huguette. Et gourmande ! Après l’avoir fait gicler comme un citron sur du poisson pané en lui torturant le point G, Fanch lui avait collé son chibre de grizzly dans l’oignon. Et le moins qu’on pouvait dire, c’est que citron et oignon étaient un mélange détonnant. La petite Huguette tâtait de la sodomie en affamée de la rondelle. Une perle rose, cette petite. Oui. Vraiment ! Rose comme sa robe.
Huguette l’attendrait au bistrot. Ensuite, il lui avait promis un cinoche. La grande classe. La bonbonnière – les nichons en bataille – l’avait sucé comme une reine pour le remercier de ses bons soins. L’Huguette avait souri quand il lui avait dit qu’il lui remettrait une secousse un peu plus tard. La très grande classe !
À peine dans la rue principale, un coup de feu claquait et Fanch sentait son sombrero quitter son crâne. L’œil de fennec du cowboy avait pourtant déjà repéré sa cible. Un homme à demi caché derrière un Stepway rouge fusion, parfaitement garé en épi devant le bistrot. Des vaches meuglaient dans la ...