Une fièvre de cheval
Datte: 27/04/2025,
Catégories:
f,
fh,
noculotte,
ffontaine,
fsodo,
délire,
Humour
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... être jolie, cette Miranda était jolie. De lourds cheveux d’or, qu’elle avait hérité de son père tchécoslovaque, et de grands yeux lavande qu’elle tenait de sa mère allemande. Une frimousse agréable, un nez mutin et une bouche sensuelle, qu’elle tenait de son arrière-grand-mère batave.
— T’as pas une tête à t’appeler Miranda ma jolie.
Les yeux sur le large décolleté de la robe rose bonbon, Fanch avala une gorgée de bière chaude et fadasse. Les seins de Miranda se gonflaient sous sa respiration, comme à l’étroit dans leur bonbonnière.
La bonbonnière, elle, fixait un point précis sous le ceinturon et les colts du cowboy.
— Ben… Huguette, c’est pas terrible. Tu vois ?
— Ouais, sûr m’dame. Surtout ici dans l’Ma… ssa… Chu… Surtout ici.
— J’ai une chambre d’l’autre côté d’la rue. Un bout d’causette ça t’dis.
— Pour la causette, c’est OK. Mais t’attends pas à c’que j’joue les Jean Valjean.
— Ben c’est Fanch Lambig ou Jean Valjean ton nom ?
— Laisse tomber Huguette.
La chambrette était proprette et des odeurs de roses flottaient dans la pièce. Rose comme la robe.
— Oh qu’c’est bon. Oh qu’tu m’baises bien. Oooh…
— Yep. Ta p’tite chatte blonde m’excite grave. J’ai jamais vu d’poils dorés. Faut dire que les Indiennes sont plutôt d’poils noirs quoi… Tu mérites le détour, ma jolie…
— J’tiens ça d’ma tante Cunégonde y paraît… Une flamande pure souche… Oh oui ! Baise-moi ! M’mm…
Sans sa robe rose, la p’tite Huguette tenait toutes ses promesses. Un corps rose menu ...
... et svelte. Sur une fille plus épaisse, ses gros nichons auraient fait de beaux melons. Sur elle, ses nibards devenaient des pastèques. Mais roses comme la robe. Pas vertes.
Fanch avait regardé sa grosse queue aller et venir dans la petite chatte rose. Comme la robe. Puis il avait fait changer de position à la si jolie Huguette.
— T’es bonne en levrette. J’adore ta jolie fente de tirelire.
— En levrette ? Ben bonne, t’sais pas encore, mon Fanch. Faudrait m’la lécher la fente… Oh Lèche-moi ! J’veux qu’tu la goûtes ma p’tite chatte. J’ai trop envie moi… C’est quoi… Oooh… Oooh… Une tirelire ?
— Laisse tomber Huguette. T’es bien étroite et bien mouillée. Tu mérites grave ma jolie ! Oh que oui, tu mérites grave…
— Oh, j’la sens bien ta grosse queue. J’mérite quoi Fanch ? J’mérite quoi, oooh… !
Fanch n’avait pas été aussi excité depuis ses dernières nuits passées avec Missy. La belle Missy, dite Missy-Pussy. Une prostituée unijambiste d’Albuquerque, qui jouait du biniou en virtuose. Fanch, lui, ne payait jamais. Fanch était le porte-cornemuse préféré de la jolie rousse. Son sonneur écossais. Missy-Pussy ne se lassait pas de souffler dans son superbe instrument.
— T’es mon highlander Fanch… T’es l’seul à m’faire jouir comme ça…
— D’vait y en rester qu’un, ma Missy…
Putain ! C’était beau l’amour…
— Oh… Tu m’fais quoi ! Oh…
Le brave cowboy avait délaissé le petit téton rose qu’il titillait des doigts. Rose comme la robe. Le téton. Oui, les doigts aussi. Et la ...