Épilogue (provisoire)
Datte: 15/04/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
Masturbation
intermast,
Oral
fgode,
fdanus,
jouet,
bougie,
fouetfesse,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... contentant de couvrir les lèvres qu’elle avait épilées devant Anaïs. Je m’attendais au pire, j’ai failli être déçue. La sensation de chaleur était bien plus difficile à supporter, certes, particulièrement lorsque que des gouttes de cire s’écrasaient sur mes nymphes. Je ne retenais pas mes cris à ces impacts brûlants, mais ma mouille étalée les transformait sans délai en pastilles durcies. La brève douleur se muait alors en fourmillements qui me prenaient le ventre. Ondulant en permanence entre souffrance et plaisir, je crois avoir joui sans m’en apercevoir.
Nous avons retiré ensemble les plaques de cire froide. Certaines avaient gardé l’empreinte de détails de mon intimité. Nous en avons ri en imaginant un moulage complet de ma vulve. Pour l’heure, les morceaux disparates baignaient sous ma fourche dans un flaque de sueur et de cyprine, d’urine aussi peut-être tant le contrôle de mes sens m’avait échappé dans ma résolution à aller au bout de l’expérience.
— Elle n’est pas tout à fait terminée, Chantal, m’a gentiment rappelé Colette quand je me fus remise debout. Votre téton droit est toujours emprisonné. Pensez-vous pouvoir supporter que je le délivre sans le toucher des doigts ?
— Vous me le proposez avec un tel euphémisme, ma chérie, que je serais bien discourtoise si je vous le refusais !
J’avais crâné en plaisantant et en me risquant à user du même terme affectueux qu’elle. Mais au fond de moi je tremblais, et pas qu’intérieurement d’ailleurs. J’ai offert ma ...
... poitrine en croisant nerveusement les mains dans mon dos. Mon téton gauche conservait le souvenir du premier impact. Je me suis préparée de mon mieux à celui qui allait suivre.
Elle m’a embrassé le sein avant de se reculer à bonne distance de frappe. Elle ne m’a cinglée qu’une fois. La cire a volé en éclats sous le coup, l’éclair de douleur m’a coupé le souffle. Je n’ai pas osé regarder tout de suite. Ma peur d’une blessure était vaine : le petit bourgeon de chair fragile était seulement plus rouge qu’à l’ordinaire, guère plus que son jumeau. Et je savourais merveilleusement les délicates succions que leur prodiguait Colette…
— Il n’y a pas de meilleur remède que la caresse d’une langue, ni de meilleur pansement qu’une bouche aimante, m’a-t-elle enseigné avant de s’agenouiller pour lécher ma chatte.
J’ai avancé mon ventre les jambes écartées, en présentant mon sexe dolent et gluant à ses soins. Je n’ai pas joui, mais mon âme était comblée. Pas assez, semblait-il, au goût de ma préceptrice.
— Il ne faut pas vous arrêter en si bon chemin, Chantal. Que diriez-vous d’essayer une flagellation de chatte ?
— Oh non, ai-je sursauté, je ne sais pas comment je le supporterais. Et j’aurais trop peur d’en conserver longtemps les séquelles !
— Je ne parlais pas de la vôtre, mais de la mienne. Je vous ai fourni un martinet, tout à l’heure, non ?
Ah oui, tiens, je l’avais oublié dans les égarements de mon esprit. Il traînait par terre, tombé de ma main sans que j’y prisse ...