1. Épilogue (provisoire)


    Datte: 15/04/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, Masturbation intermast, Oral fgode, fdanus, jouet, bougie, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... étape de plus dans la connaissance de mon moi intime, sans maîtresse ni soumise. Elle m’a enserrée dans un bustier identique à celui qu’elle avait renfilé, et mis dans la main un martinet. Mes seins débordants n’avaient jamais été aussi bien rehaussés, mon ventre écrasé et ma taille étranglée me donnaient un cul rebondi sur des hanches boudinantes. Je me sentais mal à l’aise et ridicule.
    
    — Pas du tout ! Vous avez l’air d’une vraie domina, m’a rassurée Colette en considérant sa cravache. Lequel de vos tétons a le plus souffert des pinces, ce matin, ma chérie ?
    — Heu… le droit, je crois.
    — Tournez-vous de profil pour me présenter votre sein gauche.
    
    Je n’ai pas vu venir le coup, juste une douleur fulgurante, comme si mon téton avait été coupé net. J’ai gémis entre mes dents serrées, je me suis retenue de regarder mon mamelon ou d’y porter la main (j’avais fait des progrès ! ). J’ai fixé ma compagne en attendant la suite.
    
    — L’autre après la cire, m’a-t-elle prévenue. Allongez-vous sur le tapis, Chantal, sur le ventre.
    
    Des gouttes ont constellé mes fesses, brûlantes sur le moment et presque aussitôt figées, ne laissant qu’une sensation astringente sur l’épiderme. Une dizaine sur chaque hémisphère, peut-être, et quelques autres ont coulé dans le sillon. Plus cuisantes, celles-là ! Des claques et des tapotements appuyés du bout plat de la cravache m’en ont débarrassée dès qu’elles eurent refroidi. La fessée a été plus pénible que la douche de cire.
    
    Colette m’a ...
    ... montré mon cul dans un miroir : des taches à peine visibles le parsemaient, pas plus colorées que la peau après un léger coup de soleil. Je n’ai pas hésité quand elle m’a invitée à me mettre sur le dos.
    
    La cire a enrobé mes tétons, s’étalant en flaques irrégulières sur les aréoles. La chaleur des premières secondes était beaucoup moins supportable et l’impression perdurait bien après que le moulage liquide ait pris. J’ai enduré en silence la morsure éprouvante de mon téton droit, plus vive et plus longue à s’atténuer que celle d’une pince. Malgré mes efforts, je n’ai pu m’abstenir de piailler quand la même peine a été appliquée au gauche, trop récemment sensibilisé. Jappements aigus au contact des baisers de feu et grognements sourds le temps que la douleur s’estompe.
    
    Colette a délicatement retiré la gangue de cire froide de mon sein gauche. Elle n’a pas touché à celle qui couvrait le bout du droit. Elle m’a caressé la joue avec tendresse. Je lui ai souri, fière de mon courage et heureuse des papillons qui voletaient dans mon ventre.
    
    — Voulez-vous que je continue sur votre sexe, Chantal ?
    
    Sa voix était douce, sa main cajolait mon sein endolori, ma chatte palpitait de désir. J’ai hoché la tête pour acquiescer, de peur que ma gorge nouée ne m’empêche de dire oui.
    
    — Ouvrez bien vos cuisses, ma chérie.
    
    Elle m’a d’abord masturbée, répondant à mon excitation et la décuplant jusqu’au bord de l’orgasme, puis elle a repris la bougie. Elle a évité d’empeser ma touffe, se ...
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