1. Épilogue (provisoire)


    Datte: 15/04/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, Masturbation intermast, Oral fgode, fdanus, jouet, bougie, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... garde. N’empêche, je me voyais mal l’utiliser sur Colette. Je me méfiais de la facile dérive qui m’avait saisie le matin. Elle a insisté.
    
    — Je sais à quoi vous pensez, Chantal. Ne vous sous estimez pas, vous avez su vous reprendre. J’ai confiance en vous.
    — Moi pas, Colette ! Je ne suis pas sûre de pouvoir me maîtriser si je rechute.
    — Raison de plus de vous exercer, ma chérie, pour apprendre à vous dominer. Ne le désirez-vous pas ? Soyez sans inquiétude, je vous aiderai de mes conseils, si besoin.
    
    J’en avais envie, c’était vrai. La tentation était grande de retrouver le plaisir particulier que j’avais ressenti fugitivement en maniant la cravache sur ses seins. Un banal martinet paraissait moins brutal, l’attrait pernicieux de l’expérience me poussait, celle qui en pâtirait le demandait, que risquais-je à transgresser les limites de la morale profane en ce lieu clôt ? Colette m’exhortait à les franchir, elle m’honorait de sa confiance. J’ai cédé.
    
    — Très bien, Chantal. Lancez-vous, suivez votre instinct.
    
    Elle était là, face à moi, sa cravache encore à la main. Une idée soudaine m’est venue, une réminiscence sans doute. Je lui ai enlevé cet emblème de pouvoir dont elle venait de me cingler, et je le lui ai présenté devant la bouche. Elle l’a pris entre ses dents sans rechigner, comme un chien obéissant tient la laisse que lui tend son maître. Cette subite inversion des rôles m’a stimulée. Oui, je dominais, je pouvais être gentille ou sévère. J’ai avancé le ...
    ... bras.
    
    — Donne.
    
    Elle a baissé la tête pour déposer docilement sa prise dans ma paume ouverte. L’évidence de la comparaison m’a amusée. J’ai ébouriffé ses cheveux.
    
    — Bon chien, ça. Bonne chienne. Assise !
    
    J’ai eu aussitôt honte de ce comportement puéril. Trop tard. Elle était déjà accroupie sur le tapis, les fesses dans la mare de mes fluides divers, attendant l’ordre suivant. Je me suis baissée à mon tour, gênée de la stupidité de ma réaction.
    
    — Ouvrez les cuisses, Colette, ai-je commandé sur un ton que je voulais neutre. Repliez vos jambes de sorte que vos plantes de pied se joignent et que votre chatte soit bien visible.
    
    Sa position me donnait en effet une belle vue de son opulente vulve. Par contre, mes coups de martinet n’ont guère été efficaces, claquant plus souvent au sol que sur leur cible, qui n’en souffrait que faiblement. Pas évident de fouetter à genoux ! Colette m’a tirée d’embarras en se renversant sur le dos.
    
    — La posture imposée est une bonne initiative, mais en vous plaçant au-dessus de moi vos gestes seront plus faciles. En plus, vous me permettrez de contempler votre minette pour adoucir ma peine, continua-t-elle dans un sourire.
    
    J’ai suivi ses indications. Mes impacts rougissaient ses lèvres, je retrouvais les sensations espérées. J’ai ajouté une touche de mon propre chef en rapprochant ma chatte de sa bouche. J’ai poursuivi mon exercice pratique en alternant les plaisirs : un coup de martinet donné, un coup de langue reçu. Une merveille ...
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