1. Épilogue (provisoire)


    Datte: 15/04/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, Masturbation intermast, Oral fgode, fdanus, jouet, bougie, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... après. Pas de question non plus, un homme était attiré par les femmes, une femme s’intéressait aux hommes. C’était « naturel ». Ensuite, des amours éphémères, des erreurs, des emballements, des déceptions, et puis celui qui devait devenir mon mari. Aucune attention spécifique pour les autres femmes là-dedans, ni séduction, ni rivalité, tout au plus pouvais-je remarquer que je m’étais sentie à l’aise en leur compagnie, comme délivrée d’un rôle à jouer. À l’époque, je n’y avais pas attaché d’importance.
    
    Le mariage était venu, confortable et agréable, dans le respect d’un espace de liberté pour l’un et pour l’autre. Nous étions suffisamment intelligents et cultivés pour ne pas nous encombrer de serment d’exclusivité : si l’on y manque, les conséquences sont pires que la cause. Tout bien considéré, nous n’en avions pas abusé, pensais-je. Quelques incartades de part et d’autre n’avaient pas entaché notre complicité ni le plaisir physique de nous retrouver. D’ailleurs, en me remémorant nos culbutes, j’ai eu soudain envie d’une bonne bite. Cela avait toujours été le cas avant nos retrouvailles, chaque fois que nous avions été éloignés pendant un certain temps. Rien n’avait donc changé.
    
    Qui dit copulation – sauf précaution, bien sûr – dit progéniture éventuelle. Pubis repetita placenta quelquefois, comme disait un copain. Cela s’était répété deux fois. Bien suffisant ! La vie de mère de famille avait un peu changé nos habitudes, mais pas trop. Moins de loisirs, évidemment. On ...
    ... s’était rattrapé lorsque les petits étaient devenus grands. Nous avions su profiter de ces années de relative jeunesse pour réaliser enfin des projets en suspens. Par exemple, trois ou quatre vacances d’été naturistes.
    
    Et voilà ! J’avais mis le doigt, façon de parler, sur un point nodal. J’ai refait l’historique de cette expérience.
    
    Je ne pensais pas avoir été particulièrement pudique, mais l’idée de me foutre à poil plutôt qu’en maillot sur une plage ne me semblait pas spécialement séduisante. J’avais accepté pour faire plaisir à mon mari dont la perspective d’observer de jolies nudités attisait la curiosité. Le premier jour, je l’avais passé à manœuvrer pour en montrer le moins possible. Mon chéri non plus n’exposait pas sans inquiétude ses bijoux de famille aux regards étrangers. (La vieille histoire de la comparaison des zizis, je suppose.) Pour autant, l’ambiance bon enfant du lieu et l’attitude apparemment indifférente des voisins et voisines nous avaient décontractés dès le lendemain. À nous les jeux de plage et les petites balades, intimités offertes à l’eau et au vent ! J’avais dû reconnaître que c’était bien plus agréable que d’avoir la foufoune dissimulée sous le tissu.
    
    Il m’est revenu ma première rencontre avec un sexe féminin en majesté. C’était lors d’une de nos premières de ces balades, justement. Dans un petit creux de l’arrière-plage, une beauté sans voile prodiguait une fellation enthousiaste à un quidam extasié. Nous l’avions surprise de dos : ses ...
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