Seniors
Datte: 15/04/2025,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... danger pour me soustraire aux sombres desseins d’un brigand, laisse-moi te récompenser dignement.
Très sérieuse, elle reprit ses incroyables caresses buccales, je tentai de repousser doucement sa tête quand je sentis monter le plaisir, mais elle s’agrippa à mes fesses pour me garder entre ses lèvres. Un flot de sperme, conséquence d’une longue frustration/abstinence envahit sa jolie bouche, une partie s’en échappa et coula sur son menton, son cou et ses seins, la souillant de traînées blanchâtres qui me chagrinèrent.
— Quelle abondance, je ne m’attendais pas à un tel hommage ! Bravo chevalier, je t’émoustille donc tant que cela ? Je vais céans masser mon épiderme de cet élixir de vie et de plaisir, tu es galant homme de prendre ainsi soin de moi.
— Merci, ma princesse(elle sourit à ce qualificatif), mais vous imaginez bien que mes années de combat m’ont quelque peu usé, et que pareille saucée ne saurait être la norme, un repos récupérateur…
— Bien sûr, messire, mais je compte bien que durant les renversements de sablier qui te seront nécessaires pour recouvrer la vigueur, tu prennes tout ton temps pour faire connaissance avec le fourreau qui, sous peu, accueillera ton épée.
Sans doute lassée de ces joutes médiévales, mais voulant encore me surprendre, ma divine sexagénaire se releva, m’embrassa à m’en couper le souffle, sa langue s’agitant frénétiquement contre la mienne, avant de me souffler à l’oreille :
— J’aimerais que tu me lèches la chatte, Philippe, ...
... j’adore ça et je suis un peu… beaucoup en manque, et comme tu me plais terriblement… Tu veux bien ? Je ne te choque pas ? Ma vieille moule fripée ne te dégoûte pas ?
Comme unique réponse, je la fis s’allonger sur le lit, son regard coquin et complice brillant dans la semi-obscurité disant qu’elle avait compris mes désirs. Enlevant les habits qu’il me restait, je m’agenouillai aux pieds de cette séductrice épicurienne mûre, pieds que je caressai avant de remonter le long de ses mollets, écoutant le crissement érotique du nylon de ses bas, puis de ses cuisses épaisses à la peau merveilleusement douce. Ma langue prit le relais, et je léchai amoureusement la douce bande de chair tendre faisant le lien entre sa culotte et ses bas.
— C’est bon, Philippe, c’est doux… Mmmm…
Après quelques minutes, je fis délicatement descendre son élégant sous-vêtement jusqu’à ses chevilles, ma princesse ainsi libérée posa ses talons sur le bord du lit, m’offrant son intimité. Son corps était vraiment un appel à l’amour, sa taille pleine, son ventre légèrement rebondi, son petit buisson bien taillé surmontait une vulve imposante, aux lèvres épaisses, dont je m’approchai, fébrile.
— J’ai bien peur que tu ne doives t’aventurer en milieu aride, ma source connaissant parfois des problèmes de sécheresse, mais si tu es aussi bon sourcier que chevalier, alors à moi les Grandes Eaux de Versailles !
Je commençai par lécher entièrement sa vulve, lentement, passant ma langue entre ses lèvres à maintes ...