Seniors - Histoires de Sexe

Seniors

... maintenait ma tête plaquée contre son sexe et m’indiquait le chemin de son plaisir, sonmont de Vénus désormais brillant de liqueur intime.

— Oh Philippe, je mouille, oui, je mouille comme une petite pucelle… suce-moi encore un peu le clito…encore…Ohhh… Ohhhhh…

Je ne sais pas si cette figure était enseignée aubody sculpt, mais les cuisses dodues de ma souveraine hôtesse se refermèrent sur moi avec une incroyable vigueur, en même temps que son bassin se souleva, m’obligeant à me hisser pour suivre le mouvement.

Arquée sur ses talons, creusant les reins, Béatrice jouit longuement, dans une longue plainte émouvante, barbouillant mon visage de gel et de son miel d’amour odorant.

— Oh, Philippe, c’était merveilleux… Je vais finir par remercier le petit connard qui m’a fait te rencontrer ! J’aimerais que tu me fasses l’amour maintenant, je veux sentir la chaleur et la force de ton corps contre le mien, je veux sentir ton plaisir en moi. Viens ! Prends-moi !

Ne voulant en aucun cas brusquer cette femme si délicate, je pris la précaution d’enduire de lubrifiant ma verge dressée d’impatience. En appui sur mes avant-bras je pénétrai lentement ma belle mature, contemplant son visage épanoui, mais y guettant la moindre marque d’inconfort, aimanté par son regard complice, léchant ...

... ses seins plantureux dont les tétons se dressèrent entre mes lèvres. Quand mon membre eut entièrement disparu en elle, je m’allongeai sur son corps accueillant et la serrai dans mes bras, avant de l’embrasser longuement et de lui dire à l’oreille combien elle était belle, désirable, sensuelle, combien elle était femme.

Nous fîmes l’amour passionnément, Béatrice venant au-devant de mes coups de reins ou croisant ses jambes dans mon dos pour me maintenir au plus profond de son intimité. Le plaisir nous submergea simultanément, je me répandis dans ses chairs brûlantes et notre orgasme commun nous emporta, avant de nous laisser inertes, haletants, couverts de sueur.

— Philippe, tu viens de me faire renaître au plaisir, je n’ose pas dire à l’amour, à mon âge ça fait un peu midinette, non ?

Pour toute réponse je la pris à bras-le-corps, l’œil humide, le cœur en mode adolescent, mon visage enfoui dans son cou. J’aurais aimé maîtriser la télépathie, faire l’économie des mots, ces artifices vocaux qui parfois engendrent plus de mal que de bien, mais, émergeant de mes fantasmes communicationnels, je dus me résoudre à la banalité. Ou presque.

— Béatrice, pardonne ma naïveté, mais je crois bien que je suis un senior amoureux d’une senior-e. Tu crois que c’est possible ? Tu es fâchée ?