1. Seniors


    Datte: 15/04/2025, Catégories: fh, hagé, fagée, amour, caresses, Oral pénétratio, rencontre, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... langoureux, à la fin duquel sa douce voix me souffla :
    
    — Peut-être que mon intrépide chevalier oserait glisser ses mains sous mon armure pour me câliner un peu ?
    
    Je n’en revenais pas, cette beauté avait toutes les audaces, je me sentais petit garçon. De ses hanches, je descendis sur ses cuisses et remontai sa robe du bout des doigts, caressant le plus sensuellement possible ces délicates rondeurs matures, jusqu’à sentir sous mes doigts la chair nue juste au-dessus des bas.
    
    — Oh que c’est doux de se faire caresser les fesses, continue, Chevalier, s’il te plaît, j’avais oublié combien c’est grisant…
    — Demandez, Princesse, demandez, et je vous exaucerai.
    — J’adore cet esprit chevaleresque, mais dis-moi, beau guerrier, n’est-ce pas ton épée que je sens-là, si dure contre mon ventre ?
    
    Quelle femme ! Et dire qu’il y a quelques jours je la voyais bigote servante de messe, confite en bondieuseries, maintenant elle m’hypnotisait de ses magnifiques yeux bleus tout en me touchant la queue au travers de mon pantalon.
    
    — Oui, Princesse, pour vous défendre contre les manants et les malotrus.
    — Quelle bravoure ! Ma camériste ayant congé, m’accompagneriez-vous jusqu’à mon boudoir pour m’y ôter mon armure, beau guerrier ?
    
    À la fois sidéré et conquis par les desiderata coquins de ma princesse, je la suivis docilement jusqu’à sa chambre. La pièce, très sobrement meublée, baignait dans une semi-pénombre, les volets étant clos et les lourds rideaux eux aussi fermés. Se ...
    ... collant contre moi, elle murmura :
    
    — Déshabille-moi, Philippe, mais s’il te plaît laisse l’obscurité dérober à ta vue les outrages du temps et de mes excès sur mon corps.
    
    Me tenant face à elle, je défis un à un les boutons de sa robe en tremblant, en dégageai les épaules et la laissais choir au sol. Je devinai de ravissants dessous, dont une culotte haute formant string et une brassière enveloppante. Mes mains partirent à la découverte de sa peau, d’une grande douceur, je lui caressai les épaules, le dos, les fesses fermes et le haut de cuisses, je bandais dur, elle ronronnait sous mes doigts.
    
    — Je te plais, chevalier ? Tu n’es pas très bavard… Oublie les combats et savoure la douceur, il y a un temps pour tout, mon sauveur. Me permets-tu de libérer ce glaive qui te gêne ?
    
    Souple comme une liane, Béatrice se laissa glisser le long de mon corps, elle défit ceinture, pantalon et sous-vêtement et m’en débarrassa prestement. J’affichai une érection qui parut lui plaire, puisqu’elle prit tout de suite en bouche ma virilité et me prodigua une fellation d’anthologie, comme je n’en avais plus connu depuis… longtemps. Sa langue, ses lèvres, ses dents même furent mobilisées pour me mener à la porte du plaisir, je lui suggérai de ralentir un peu sous peine de rendre les armes.
    
    À mes genoux, cette femme stupéfiante releva vers moi son visage angélique, ses grandes lunettes lui donnant un irrésistible côté intellectuelle délurée, et minauda :
    
    — Oh chevalier, tu as bravé le ...
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