Seniors - Histoires de Sexe

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... reprises, avant de les écarter de mes doigts pour une exploration plus intime encore, me délectant de ces douces nymphes pourpres. Ma langue descendit légèrement pour se présenter à l’entrée du vagin, et y dessiner mille volutes, courbes et arabesques, impatient de sentir chez mon hôtesse les prémices de son excitation.

— Ce que tu es doux, mon sauveur, je fonds sous ta langue… j’adore ce que tu me fais… continue, fais-moi mouiller !

Qui aurait pu résister à pareille complicité ? Cette femme pouvait désormais tout me demander, j’étais conquis corps et âme, prêt à exaucer ses moindres désirs.

Ma langue remonta son sillon intime à la recherche de la petite protubérance qui devait encore jouer la timide sous son capuchon. La débusquant, je sentis frémir ma lionne à la crinière argentée, je soumis alors sa petite groseille aux caresses les plus diverses, tantôt la suçant de mes lèvres, tantôt l’agaçant du bout d’un doigt ou la couvrant entièrement de ma langue pressée sur sa cachette.

Béatrice se mit à respirer plus fort, et ses mains se posèrent sur ma tête pour me guider.

— Oh oui, Philippe, oui… un peu plus haut… Ohhh que c’est bon… plus fort… plus fort. ! Tu réveilles mon corps, c’est merveilleux… j’ai envie de jouir… !

Voulant réveiller plus encore sa libido, j’aventurai un doigt au seuil de sa grotte, mais l’entrée en demeura difficile d’accès.

— Je te l’avais dit, ma source intime s’est évaporée tout comme ma jeunesse… prends le tube dans le ...

... premier tiroir du meuble sur ta gauche, et sois généreux ! Parle-moi, dis-moi que tu me veux, que je ne suis pas une vieille peau au cul tombant, s’il te plaît Philippe…
— Voilà, ma princesse, j’ai oint le doigt qui va sonder ton puits d’amour, celui que j’ai envie de sentir couler sous mes lèvres, et je t’assure, tu as un merveilleux cul, Béatrice, d’ailleurs, regarde comme il me fait bander ! On ne peut pas tricher avec ça, je n’ai pas de petites pilules bleues dans ma poche, c’est bien de toi que j’ai follement envie !
— Laisse-moi toucher ta queue avant de me fourrer, je veux la sentir palpiter avant qu’elle me dilate la chatte.

Quand elle eut flatté mon sceptre, je repris mes câlineries sur son clito et introduisis lentement mon doigt lubrifié en elle, la laissant me guider.

— Attends un peu, oui, maintenant, enfonce-le, doucement, oh oui… oh Dieu que c’est bon… remets un peu de gel, s’il te plaît…

Quand mon doigt eut complètement disparu dans la petite crevasse, Béatrice poussa un profond soupir…

— De grâce, chevalier, continue à me lécher tout en explorant mon puits, je veux connaître le plaisir sous tes caresses ! Fais jouir la vieille bourgeoise qui t’a allumé !

Imprimant à mon doigt englouti de lents et délicats mouvements, je repris mes agaceries linguales sur son bouton d’amour, je voulais lui donner du plaisir, je voulais qu’elle crie, qu’elle en redemande, qu’elle sente mon immense désir pour elle. Son corps se mit à bouger de plus en plus, elle ...