Moule à beaufres
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
f,
ffh,
jeunes,
alliance,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
Humour
Auteur: Mirtylle, Source: Revebebe
... mais il n’ose pas m’appeler « Clarence » en sus de « tête à noeuds ». Il est là, bouche ouverte, l’air idiot, à me regarder de haut en bas et de bas en haut. D’ordinaire, je le trouve pas mal fichu, mais là, il a juste l’air d’un con.
C’est à l’instant où je baisse les yeux vers mes vêtements pour constater l’ampleur des dégâts que je m’aperçois que je pourrais, dans cet état, jouer les candidates à un concours de « Miss tee-shirt mouillé ». À tout berzingue, je tourne les talons et file vers la maison, gagne rapidement l’étage et m’enferme dans la salle de bain. Pendant de longues secondes, je reste là, haletante, le dos à la porte et m’efforçant de reprendre mes esprits.
Lorsque j’émerge enfin du brouillard de colère qui m’enveloppait, c’est pour m’en aller contempler mon reflet dans le miroir du lavabo. Mon tee-shirt trempé me colle à la peau, soulignant sans équivoque les rondeurs de ma poitrine d’où saillent deux pointes sombres particulièrement suggestives. Voilà pourquoi Cyrille me regardait de cette façon !
Je promène les mains sur le coton frais et alourdi par le liquide, empaume mes seins et ferme un instant les paupières, me repassant le film de cet incident stupide avec mon beau-frère. Un frisson me parcourt le dos. Je me secoue, ouvre les yeux et enlève mon tee-shirt, mon soutif modèle léger, mon short qui est mouillé lui aussi et mes sandales qui ont laissé des traces luisantes sur le carrelage. Mon slip a moins souffert dans la mésaventure, mais ...
... suffisamment pour suivre le même chemin.
J’attrape une serviette-éponge et entreprends d’essuyer mes tifs et tout le reste. Mes gestes, d’abord rageurs, se font plus lents et plus doux à mesure que sèche ma peau ; et lorsque j’abandonne la serviette, je suis à peu près calmée.
Je retourne devant le miroir et commence à gamberger. Sans cesse, le regard de Cyrille posé sur moi me revient en mémoire. Je me rappelle notre première rencontre, cette soirée dansante où je lui avais arraché une série de slows et roulé quelques pelles. Et puis la suite : Colette en pétard qui vient s’imposer, puis finit par me piquer mon mec. C’est vrai qu’à l’époque, elle était mieux que moi. Plus grande, plus mûre, plus sûre d’elle et vraiment sans scrupules. Et puis, elle avait dix-neuf ans et une bagnole, et moi seulement dix-sept et demi et pas mal de boutons.
Maintenant, je ne suis pas plus grande, mais j’ai vachement changé. Et Cyrille a dû s’en apercevoir lui aussi. « Le porc, me dis-je. Si Colette savait comment il m’a reluquée… »
Je m’examine encore une fois dans le miroir, essayant d’établir de mémoire des comparaisons avec ma sœur. Je ne suis certainement pas mieux qu’elle, qui est grande, svelte, bronzée, le cheveu lisse et brillant et le regard droit. Je suis différente, et je me dis que c’est ça qui a dû attirer l’attention de Cyrille : la différence. Ma petite taille, mes rondeurs et ma peau qui reste blanche parce que je n’aime pas beaucoup les bains de soleil.
Je secoue ma ...