1. Jeux de langues


    Datte: 28/02/2025, Catégories: fff, jeunes, caresses, intermast, Oral 69, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... avec tes doigts.
    — Ben oui, j’essaie, mais ça glisse.
    — Mets les ongles, m’entends-je répondre.
    — Je vais pas te faire mal ?
    — Non. Enfin, si, un peu, mais ça fait rien, au contraire…
    
    Le regard étonné que me jette Marion ne l’empêche pas de retrousser hardiment le capuchon contrariant. Sa maladresse aiguise la sensation de piqûre, mais cette légère douleur ajoute à l’excitation qui m’embrase la vulve. Je pousse mon pubis sur les pouces qui me dépiautent. Un sourire de triomphe salue l’apparition de ma perle, la pointe d’une langue la chatouille. Je me cambre dans un premier spasme. La bouche de Marion qui gobe sa découverte m’en offre un deuxième. Je gémis de joie.
    
    Elle suce mon bouton et pétrit mes lèvres. Les spasmes se succèdent et mes plaintes se bousculent. J’ai des fourmillements électriques dans le vagin et la frustration de son vide. J’ai besoin de plus, j’ai besoin d’être pénétrée, j’ai besoin de lécher une chatte, d’en boire le jus. Je bégaie ma prière entre deux hoquets de plaisir.
    
    — Tes… tes… doigts… Ma… Marion, tes… doigts ! Fou… fouille-moi ! Ba… Babette… viens sur moi, viens… sur ma figure !
    
    Mes espoirs sont comblés, je m’abandonne à mes filleules. Je me noie dans la fente de l’une et je m’ouvre sur la main de l’autre. Je lape une liqueur de chatte et je fais don de la mienne. Les vagues de l’orgasme montent avec la vigueur des assauts, ma raison en défaille. Je ne déguste plus la cyprine parfumée de Babette, je l’engoule à m’étouffer. Je ...
    ... n’accueille plus les doigts de Marion, je m’empale à leur rencontre. Je clame dans le con de l’une la jouissance qui se contracte sur les phalanges de l’autre. Mon corps se tord et mon esprit se vide…
    
    La conscience revient lentement après l’extase, et avec elle un semblant de lucidité. Plénitude et doute, embarras et volupté, satisfaction et scrupule, les sentiments et les pensées se croisent dans ma tête. Les fesses de Babette dominent toujours mon visage. Tout au plus s’est-elle un peu soulevée pour me laisser respirer. Ses festons roses brillent de ses sucs et de ma salive. Ses poils clairs frissonnent de mon souffle. Les doigts de Marion sont encore nichés en moi. Sa main libre caresse doucement les bords moites et frémissants de ma vulve. Exactement comme le fait Julia après m’avoir ravie.
    
    Un mouvement de hanches, Babette fait mine de se dégager. Je la retiens, je ne crois pas qu’elle ait joui. Je veux la combler, la remercier, la récompenser de son dévouement. Je veux aussi me remplir de ses odeurs intimes, savourer ses senteurs, sans barrière frustrante d’un parfum de crème solaire comme Christine avec Brigitte sur la plage. Je souris intérieurement en me rappelant cette déception avouée. Moi, je peux sans réserve m’enivrer de toutes les exhalaisons sexuelles sublimées par la sueur du désir…(et par les séquelles des émotions du jour, avouons-le !)
    
    Babette ne résiste pas, elle s’offre avec reconnaissance, cambrant les reins pour mieux s’exposer.
    
    — Relève-toi un ...
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