Jeux de langues
Datte: 28/02/2025,
Catégories:
fff,
jeunes,
caresses,
intermast,
Oral
69,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Forum Marraine : Chantal
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Marion a obéi instinctivement à mon affectueuse sollicitation. Elle ouvre gentiment ses cuisses, sans s’embarrasser d’offrir la vue impudique de sa grosse mounine. Elle rit et se tortille – toujours autant chatouilleuse ! – quand je dessine les contours de ses grandes lèvres bombées, puis les écarte pour déployer ses petites nymphes roses. Une profusion juteuse baigne toute la fente et déborde sur le périnée. L’étroite entaille ne révèle qu’en partie son corail et le clito demeure bien caché. Près de moi, Babette observe attentivement, en disciple motivée. Une fragrance soutenue monte à nos narines.
Je pose ma bouche sur la vulve. Marion se fige, les yeux écarquillés. Mes lèvres caressent, ma langue lape. Marion bégaie des mots indistincts. Je lèche le val, je baise les berges. Marion se tait. Je pinçote les bourrelets, j’aspire les nymphes. Marion marmonne son approbation. Je cherche le bouton, le roule sous sa capuche. Marion ronronne. Je pointe la langue dans la faille étroite, la titille sans forcer le passage. Marion frissonne et geint.
Je reprends haleine. Marion grogne sa frustration. Ma figure est barbouillée du nez au menton, le visage de Babette frôle ma joue. Je tourne la tête, elle m’embrasse. Non, elle me lèche, elle me débarbouille, elle nettoie la mouille grasse qui auréole mes lèvres. Je laisse jouer sa langue avant de replonger la mienne dans la fentine prodigue. Marion grogne sa ...
... satisfaction, les mains aux seins, les yeux dans le vague.
Ma bouche est prise mais mon regard suffit, Babette devine l’invite. Son minois et ses doigts remplacent les mains de Marion. Je redouble d’entrain pour débusquer le bourgeon trop timide, l’attirer hors de sa cachette. Il est dur pourtant, tendu autant que le lui permet sa petite taille, et s’offre à la succion dès sa frêle exubérance dégagée du capuchon. Je le tète délicatement. Marion sursaute et gémit. J’affermis ma prise, je suce le mini berlingot. Marion s’affole et râle de plaisir.
Son corps gigote soudain, le râle devient gémissement. L’efflorescence exacerbée m’échappe, je lui accorde un répit. Mes lèvres le cèdent à ma langue pour de doux titillements, les soubresauts s’apaisent, pas les couinements. J’avance un doigt prudent à l’orée du vagin, la pulpe de mon index déclenche une secousse sismique. Marion clame sa jouissance.
Tout se calme. Pourquoi ce silence qui suit nos orgasmes ? Quelques palpitations animent encore le ventre abandonné. Le silence après l’orgasme est-il encore orgasme ?(Oui, je sais, quelqu’un l’a déjà dit.)
Je rampe – il n’y a pas d’autre mot – jusqu’aux cheveux désordonnés. Les paupières closes, les traits détendus, Marion rassemble ses esprits. Sa poitrine se teinte d’un rose qui se perd peu à peu. Babette a gardé un téton en bouche, elle le quitte comme à regret. Nous posons nos lèvres sur les joues qui reprennent leur couleur. Une langue mutine quémande les nôtres. Nous ...