Jeux de langues
Datte: 28/02/2025,
Catégories:
fff,
jeunes,
caresses,
intermast,
Oral
69,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... peu, ma puce, le temps que je m’installe mieux, dis-je en attrapant un coussin pour ma tête.
Elle obéit avec gentillesse. En m’adossant plus confortablement, je sens à regret les doigts de Marion quitter ma chatte. Mais en compensation, je peux glisser mes bras entre les cuisses de Babette. Elle les écarte sans y penser, ses fesses à hauteur de mes yeux. Mes mains s’en emparent et les ouvrent. Je contemple à loisir les détails de son intimité. Elle le comprend et ronronne d’excitation. Le sillon frissonnant de duvet clair se détend, livrant sans pudeur la vue d’une rosette pâle et les menus plis ombrés de son étoile.
Une mouille nouvelle perle entre les nymphes fines. Le double renflement des lèvres roses se gonfle et s’allonge tout palpitant pour se perdre sous les boucles légères de la touffe blonde. La douce caresse de mes pouces révèle le court capuchon qui laisse maintenant pointer le nez incarnat du clitoris. Une infime pression du bout des phalanges suffit pour que la fente s’élargisse et dévoile un tendre corail moiré. Une viscosité translucide apparaît à l’orée frémissante d’un étroit vagin, pourtant à peine orné du cercle ténu d’un semblant d’hymen.
— Tu as déjà fait l’amour avec un garçon, ma chérie ?
— Non, jamais Marraine, je t’assure.
— Sois heureuse alors ! Telle que tu es faite, ça se passera sans problème.
— J’aimerais que ce soit avec Julia et toi, murmure-t-elle dans un souffle.
La préoccupation soudaine de Marion détourne mon ...
... étonnement.
— Dis, Marraine, ça fait mal, la première fois ?
Grande question… et vaste programme ! Entreprendre d’y répondre nous entraînerait trop loin bien qu’en effet le sujet ne manque pas d’à-propos. Je lui promets d’éclaircir très bientôt ses conjectures.
— Et puis, n’aie pas peur ma puce, si c’est toi qui décides et si tu le désires vraiment, tu ne t’en soucieras même pas !
— Babette à raison, moi aussi je serais plus rassurée avec Christine et toi, conclue-t-elle en me remerciant d’un bisou sur la chatte.
— Bon, Eh bien, on verra, petites coquines ! Pour l’instant, mets-toi sur le dos, la tête sur ma foune, et occupe-toi gentiment des seins de ta copine.
Elle obtempère en riant et roucoule que ce n’est pas sa copine mais sa « sœur d’amour », pendant que la si bien nommée lui baisouille le nombril. Excellente initiative : j’ai un bouton de rose juste à portée de mes lèvres.
Je le gobe sans attendre. Le bout de mon nez caresse l’entaille du conin, c’est tiède et moelleux. Une saveur divine emplit mes narines et je sens les fesses de Babette se contracter sous mes paumes. Ma bouche entre en action, je suçote et je lèche. Les hanches ondulent, se soulèvent et s’abaissent. Quand le clitounet échappe à mes baisers, c’est ma langue qui lape la fente. De petits cris de bonheur rythment les mouvements qui s’accélèrent. La gamine se branle sur moi plus que je ne la gouine.
Mais j’ai de la ressource et la ferme volonté de transmettre ma science du gougnottage.(J’ai suivi ...