1. Les saisons d'une vie (2)


    Datte: 25/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... apparaissent au bas de bedaines inconnues. Ils sont pratiquement tous à poils désormais. Un sexe long et fin se colle à ma bouche, il sera donc gâté par ma langue. Lui non plus ne tient guère la distance. La trainée de sperme atterrit sur mon visage. Ensuite, c’est un véritable défilé de queues qui se bousculent au portillon de mes lèvres gourmandes. Je suce pour éliminer les moins résistants. Bientôt, ils ne sont plus que trois. Et j’ai échappé jusque-là à une pénétration.
    
    C’est trop beau pour durer. Je ne vais pas y couper. Ceux qui continuent le jeu, sous les regards concupiscents des perdants sont coriaces, plus jeunes également. Ceci explique cela sans doute. Et c’est d’abord en levrette que l’un d’eux me pistonne. Un autre laisse sa trique aller et venir dans mon gosier. Le dernier quant à lui, attend une place. Et je saisis un peu tard que c’est son pote qui lui offre l’occasion d’assouvir sa faim. Celui que je lèche depuis un bon moment se couche.
    
    L’homme derrière moi se retire pour que je sois placée sur celui qui git sur le dos. Et je dois dire que je deviens folle, que je me déhanche sur ce dard qui me pénètre bien profondément. C’est sans compter sur celui qui jusque-là n’a eu que les faveurs de ma bouche. Lui se colle derrière moi et je sens sur ma rondelle la pression. Je voudrais ouvrir la bouche pour hurler que je ne veux pas. Seulement voilà, le troisième larron n’a toujours pas craché sa semence et il profite de l’ouverture de mes mâchoires pour y ...
    ... glisser son engin.
    
    Ce qui se passe ensuite reste flou dans mon esprit. Je sens seulement que la gaine où le plug se trouve encore est libérée par le retrait de ce faux sexe d’un coup. Mais immédiatement réinvestie par le membre du gaillard, lequel calque ses coups de reins sur ceux de son pote. C’est donc trois mecs qui me farcissent comme une dinde. Et c’est… divin ! Tout à trac, mon ventre est comme un volcan. Je rue et les autres me cramponnent. Tous me liment, chacun dans la partie qu’il s’est réservée. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, je suis emportée par une lame de fond qui monte de mes entrailles.
    
    Jamais jouissance n’aura été aussi violente. Et je ne sais plus lequel le dernier doit quitter la niche où il remise sa bite. Ceux-là éclaboussent mon ventre, mon cul et ma gorge de ce foutre que je prends avec un plaisir trop évident. Les spasmes qui se multiplient durent toujours après que les types m’aient abandonné. Je reste tout en transes. Je me fiche pas mal de savoir où ils sont tous passés. Lorsque je me remets péniblement sur mes gambettes, il ne reste plus que le type à qui Lilian a remis la laisse qui est encore arrimée sur mon collier.
    
    Et bien entendu Lilian lui-même qui n’a absolument pas participé à ces assauts pour le moins surprenants, est présent également. Il me tend la main, me caresse la joue. Il me donne l’impression qu’il cajole une pouliche ou une jeune chienne. Mais comble de la honte… j’aime ce qu’il me fait ! Je n’ai rien vu de ...