Les saisons d'une vie (2)
Datte: 25/07/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... mur le fait sans ménagement. Je me retrouve très vite contre les poutres de bois croisées, le nez collé au mur. Et je pressens avec terreur que je vais recevoir le fouet ou tout autre objet peu réjouissant.
Je suis venue de mon propre chef, en toute connaissance de cause ! J’admets aussi que mon ventre a des spasmes d’envie rien qu’en pensant à ce qui va m’arriver. Puis c’est un premier coup sur les épaules qui me cueille à froid. Je serre les dents. Pas question de faire plaisir à cette assemblée qui se délecte de mes malheurs. Au quatrième coup asséné, une larme s’échappe du coin de mes yeux, et ensuite je ne sais plus quand je commence à crier. Je me tortille comme une anguille, mais rien n’y fait. Chaque touche sur mon épiderme me devient douloureuse.
Le pire c’est de ne jamais savoir, prévenir à l’avance où la badine va toucher ma peau. Donc impossible d’anticiper un mouvement pour me raidir ou pour essayer de minimiser l’impact. Au bout de longues minutes, le calvaire enfin prend fin. Lilian est revenu à mes côtés. Il caresse les endroits où la cravache a percuté mon dos. Je suis toujours retenue par les chevilles et les poignets à la croix. Lui me détache gentiment.
— Tu as été parfaite. Ils bandent tous de t’avoir vue et entendue hurler. Maintenant il te faut les satisfaire tous… oui tous, tu as bien compris. Alors chacun de ces hommes sera éliminé et sortira du jeu dès qu’il aura éjaculé. À toi de faire le nécessaire pour que le moins possible te prenne. ...
... Tu as tes mains, ta bouche, enfin tout ce que tu veux pour les faire cracher…
— Tous ? Vous…
— Oui tous ! Mais ils n’ont le droit qu’à une seule jouissance. L’endroit où ils crachent leur semence n’est pas important, et dès que c’est fait, ils doivent quitter le jeu immédiatement. J’y veille personnellement et ce sont mes règles qui s’appliquent dès que tu es prête.
Une fine couche de sueur perle sur mon front alors qu’il me délivre de ma position d’esclave. Je me retourne et c’est en pleine lumière que j’observe cette meute qui pour l’heure est encore assise. Aucun n’est dévêtu, mais je perçois une sorte d’impatience. Alors je me dirige vers celui qui est au premier rang. Combien de visages puis-je distinguer depuis cette estrade d’où je descends lentement ? Au bas mot une douzaine de mecs sont là, à épier mes moindres mouvements. Celui que j’ai remarqué, vers lequel je me dirige, a un embonpoint de père tranquille. Il sera le premier de la série donc.
Et c’est la ruée. Dès que j’ai ouvert la braguette de celui-ci, des mains de partout se posent sur moi. Je suis tripotée sans vergogne, mais les yeux clos je me fiche pas mal de savoir à qui appartiennent ces pognes qui s’infiltrent partout dans les moindres replis de mon anatomie. Le gros type sur qui j’ai porté mon dévolu n’ira pas plus loin. Sa queue juste sortie, il lâche une fusée blanchâtre. Et conformément aux instructions reçues, il se retire.
Mes mains courent aussi sur des bites qui comme par magie ...