J'ai deux amours...
Datte: 03/02/2025,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
masturbation
regrets,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... dix-neuf heures trente quand le taxi m’a déposée à l’entrée du Palais des expositions, dans lequel il m’a fallu au moins vingt minutes pour trouver le stand de l’entreprise familiale, plutôt imposant, et déjà très fréquenté puisqu’à vue de nez une cinquantaine de personnes s’y trouvaient déjà, picorant les plateaux de petits fours un verre à la main. À mon grand étonnement, il y avait pas mal de femmes, européennes, africaines, indiennes ou asiatiques, et tout le monde ou presque portait un badge, sur son boubou coloré, son sari, son thawb, son complet strict ou son tailleur. Roland était bien sûr là, splendide dans un costume que je ne lui connaissais pas, devisant en anglais avec ses invités, manipulant des échantillons de produits. Le cœur en émoi, je l’ai regardé œuvrer un long moment, très classe, et me suis décidée à aller lui dire bonjour. Entre un Asiatique et un Indien, j’ai réussi à approcher la star du jour, dont le visage s’est illuminé d’un sourire éblouissant lorsqu’il m’a vue.
— Oh Christiane, mais tu es… tu es… absolument sublime, cette robe te met très en valeur, même si je sais que – il m’a gratifié d’un joli clin d’œil – tu n’apprécies pas beaucoup mes compliments dans ce domaine. Tu permets que je t’embrasse et que je te décore ?
Roland m’a embrassée, ses mains sur mes épaules m’ont semblé brûlantes, puis il a sorti d’un tiroir un badge« Shareolders Representative » (Représentante des actionnaires) et l’a fixé sur ma poitrine. J’ai été parcourue ...
... d’un incroyable frisson lorsque ses mains ont effleuré mes seins pour agrafer le badge sur le tissu moulant de ma robe, faisant se dresser mes tétons. En même temps qu’il m’étiquetait, il m’a glissé à l’oreille :
— Tu as maigri un peu, et ta silhouette de jeune femme va faire des jalouses ! Mais tu n’es pas malade au moins ? Rassure-moi !
— Non, tout va bien, et toi tu es impérial, vraiment !
Roland m’a ensuite présenté à quelques personnes, hommes et femmes, toujours en anglais, langue qu’il parle couramment, mais moi un peu moins. L’une de ces dames, une eurasienne, m’a jeté un œil assassin. Elle était superbe, grande, moulée dans une minijupe dévoilant ses longues jambes, sa bouche pulpeuse ne pouvait passer inaperçue et elle portait une veste de tailleurs très échancrée, manifestement sans rien dessous. C’est vers elle que s’est dirigé Roland, me tenant par la hanche pour me guider.
— Christiane, may I introduce to you Mayumi, from Singapore ? She is our manageress for the Asian area, the most profitable one at the moment thanks to her. (Christiane, je te présente Mayumi, de Singapour, notre directrice pour l’Asie, le secteur le plus rentable en ce moment grâce à elle)
Nous nous sommes saluées poliment, elle a regardé mon badge (ou mes seins ?) et m’a fusillée du regard avant de tourner les talons, puis Roland est lui aussi retourné vers ses autres invités. Quelle poufiasse ! Elle se prend pour qui avec ses petits nibards à peine cachés et sa bouche de tailleuse ...