Amanda
Datte: 31/01/2025,
Catégories:
fh,
piscine,
voiture,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... pas pu faire à ma place ? La situation n’a-t-elle pas été rapidement rétablie ?
— Évidemment non. Mais vous jouez avec le feu. Ce ne sont pas des pratiques commerciales honnêtes.
— Il n’y a là rien de malhonnête, je ne me suis pas enrichi à vos dépens. Mais serions-nous là aujourd’hui si je m’étais contenté de venir dans vos locaux en vous disant « attention, vous avez des failles » ? Bien évidemment, non.
— Toutes nos excuses, Monsieur le Président ! reprend Édouard. Le procédé est un peu cavalier, je le conçois, je n’y étais d’ailleurs pas très favorable. Mais mon directeur adjoint m’en a convaincu, et fait la preuve qu’un réel danger vous menace. Ce n’était qu’une démonstration mettant quelques faiblesses en lumière.
— En effet, reprends-je, car cette faille n’est pas unique, nous en avons déjà détecté trois. Et si nous avons pu les repérer, d’autres peuvent le faire, avec des intentions bien plus dangereuses que les nôtres. Imaginez un instant une attaque croisée simultanée sur ces trois failles. C’est un crack retentissant assuré.
Sur un signe du Président agacé, les choses se font vite. Le juteux contrat, épluché pendant le repas par le directeur Financier, est signé. Le tout se termine par des poignées de mains. Le seul mot du Président à mon égard est « merci ». Nous le laissons en grande discussion avec mon boss qui semble se confondre en remerciements. Son affaire est en bonne voie.
— Chapeau mon p’tit Jérôme, de main de maître, me dit Édouard en ...
... remontant en voiture. Les verres à prix coûtant posés gratos par les spécialistes de la boîte. Ils viennent demain prendre les mesures et la seule contrainte est que la réalisation figure dans leur catalogue. Ça me va.
Il est content, un stress en moins, il va pouvoir parachever l’œuvre de sa vie. Ça me va aussi. Je dépose Edouard chez lui avant de retourner au bureau. Là, surprise. Et c’en est une. Mes collaborateurs ont installé sur un coin de mon bureau la spécialiste des langues orientales. La Madone ! Une Eurasienne qui a pris le meilleur des deux côtés. Une peau d’albâtre presque transparente, assez grande, mais pas trop, moulée dans un deux-pièces orangé qui met en valeur sa taille fine, son balcon généreux et son fessier rebondi, contrairement à celui des Asiatiques. D’ailleurs de Japonais, elle a surtout les yeux, très en amandes, et le comportement. Debout avec les pieds rentrés, elle me présente à deux mains sa petite carte de visite avec une révérence respectueuse. Juste le temps de refermer ma bouche et je suis à vous. Ce n’est pas que ce soit la beauté de l’année qui fera la une de tous les magazines, ce n’est qu’une jolie jeune femme, mais avec tout ce que j’aime. Une synthèse de mes préférences. J’en suis chaviré, faut me remettre et ne rien laisser paraître.
— Je vous écoute, dis-je en m’asseyant.
— En vous attendant, j’ai pu parcourir en parallèle les dossiers que vos collaborateurs m’ont fournis, version française et version japonaise.
— Alors ?(putain, ...