1. Joli Papa


    Datte: 28/01/2025, Catégories: fh, hplusag, alliance, grossexe, campagne, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... corpulence du bonhomme, mais quand même. Interdit, il me contemple aussi et…
    
    — Tu sais que tu es gaulée comme une déesse ? Il en a de la chance, mon fiston !
    — Oh, pour ce qu’il en fait… Ahhh ! Jean ! Arrêtez, ça devient froid !
    
    Et lui repart à rigoler en me visant les seins qui se crispent soudain sous l’effet du jet froid. Je ne vois plus que son barreau de chair dilaté, maintenant à l’horizontale. Autant pour l’arrêter de m’arroser qu’irrépressiblement attirée par cet organe majestueux, je me jette sur lui et l’entoure de mes bras. Il rit à gorge déployée, moi je ne ris pas. Enfin, mes seins sur ce torse puissant et légèrement velu, mes bras qui ne parviennent même pas à en faire le tour, son sexe palpitant contre mon ventre. Moment d’éternité, petit bout de paradis. Je lève la tête, en principe là, il devrait m’embrasser et puis on entendrait les violons et tout et tout. Ben non. Il me regarde en continuant de rire, me frotte le dos de ses grosses paluches rugueuses, me retourne par les épaules et file vers sa maisonnette.
    
    — Mais Jean…
    — Quoi donc, ma belle, demande-t-il en suivant mon regard ? Ah ça ? Oui, excuse-moi, c’est un réflexe que je ne commande pas. Disons que tu n’as rien vu et allons prendre une vraie douche, toi dans ta maison et moi dans ma niche.
    — Mais Jean (je vais le répéter combien de fois, je m’agace moi-même !)…
    — Prends cela comme un hommage à ta beauté, et oublie vite.
    
    Il part rapidement en sifflotant « Elle était si jolie ». Tu ...
    ... parles ! Je suis effondrée et en rogne. C’était l’occasion, unique, improbable, et je n’ai pas su en profiter. Je m’en veux. Je passe encore pour une gourde. Je fais la gueule, je boude, j’ai le moral dans les sandales. Même pas envie de faire à bouffer, je casse six œufs et je fais une omelette. Arthur n’a rien remarqué, comme d’habitude. Il a les yeux rivés sur son portable. Dès qu’il a terminé son assiette, il monte allumer son ordi. Jean dit bonsoir et regagne sa niche. Moi je débarrasse et je me colle devant un nanar à la télé. Je chouine la moitié de la nuit et je m’endors sur le canapé. Mon mec me réveille en partant au boulot, j’en profite pour me remettre au lit. Merde ! L’autre, qu’il se démerde avec son mur à la con.
    
    Quand même, l’après-midi, je me suis un peu calmée et je vais proposer mes services :
    
    — Je suppose que tout ça il faut le charger dans la remorque pour la déchetterie, en montrant les gravats ?
    — Non, il faudra même rajouter un peu de remblais, on est trop bas.
    
    Bien sûr, le jour où je tomberai juste, les dentistes poseront des couronnes aux poules. Je ne dis plus rien, j’attends qu’on me commande. Mais ça ne vient pas. Alors je vais chercher une chaise et je m’assois. Au bout d’une demi-heure, toujours rien. Le gros bandeur gratte toujours son mur. Ça fait chier. Je rentre avec ma chaise et puis je me dis qu’il faut crever l’abcès, pas rester comme ça à se faire la gueule. Je ressors.
    
    — Jean, je voudrais m’excuser pour hier, j’ai été très ...
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