1. Joli Papa


    Datte: 28/01/2025, Catégories: fh, hplusag, alliance, grossexe, campagne, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    Interdite, le torchon à la main, je contemple ce bel échantillon de mâle en pleine action, planquée derrière les voilages de la cuisine. Bizarre sensation, ce spectacle me picote le ventre. Insensiblement et sans même en prendre conscience, ma main se porte entre mes jambes, relève le bas de ma petite robe et plonge dans ma culotte. C’est tout trempé là-dedans. Je commence à me caresser le bourgeon et je sens délicieusement monter le plaisir. Soudain, il se retourne vers la maison. Je sais qu’il ne peut pas me voir, mais je sursaute comme prise en faute. Je chasse toute idée de mon esprit en frappant la table de mon torchon. S’il regarde par là, c’est qu’il doit avoir besoin de quelque chose. Soif, il doit avoir soif. Je sors une bouteille de flotte du frigo et vais lui porter.
    
    — Ah merci, ma belle ! Tu as deviné mes pensées… Hum ! Ça fait du bien. Vraiment, je ne suis plus bon à rien, regarde, je n’avance pas.
    — Quand même, vous avez déjà fait au moins cinquante mètres…
    — Ouais, mais avant j’aurais déjà terminé tout ce côté.
    — Normal, vous revenez de loin. Et puis il y a des mois que vous ne bougez plus.
    — C’est juste, et des semaines que je vous encombre en n’étant qu’une bouche à nourrir. Mais ça va changer !
    — Ne me dites pas que vous allez partir ?
    — Pourquoi ? Tu veux me garder ?
    — Ben oui, toute seule ici je ne suis pas trop rassurée…
    — Non, je me disais que je retaperais bien cette grange, histoire d’être là sans être sur votre dos. Vous n’avez plus ...
    ... d’intimité avec le beau-père dans la chambre d’à côté.
    — Oh ça… Arthur, avec son boulot qui l’obsède et trois heures de trajet par jour qui le fatiguent, il n’a pas trop la tête à la bagatelle. Mais c’est une vraie bonne idée pour cette grange dont on ne sait pas quoi faire.
    — Bien, on en parle ce soir au dîner. Tiens, remets l’eau au frais, j’y reviendrai plus tard.
    
    Lui, c’est Jean, mon beau-père. Oui, je sais, je le vouvoie et il me tutoie. Mais c’est comme ça, je les ai toujours vouvoyés, mes beaux-parents. Et j’aime bien quand il m’appelle « ma belle ». J’ai au moins l’impression d’être belle pour quelqu’un. Mais le fait qu’il veuille parler de quelque chose au dîner, ça, c’est nouveau, signe qu’il va vraiment mieux. Il faut dire qu’il revient de loin. Quand il est sorti du coma artificiel, il a dû se remettre de la maladie, accepter la forme et les dix kilos perdus, mais surtout apprendre la disparition de sa chère épouse, morte sans lui, comme à son insu. Dramatique. Depuis, il est en dépression, assez profonde, et ça se comprend.
    
    Quand le confinement s’est relâché, Arthur s’est empressé de retourner au bureau, deux jours par semaine, puis trois. Et comme il a décidé de jouer les écolos, il part le matin à vélo jusqu’au bourg et prend le bus pour Rennes. À sept heures. Ce qui fait qu’il quitte la maison à six heures et demie et ne rentre qu’avec le dernier bus à dix-neuf heures trente. Je ne suis pas particulièrement trouillarde, mais j’avoue que ça m’a fait drôle de ...
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