1. Joli Papa


    Datte: 28/01/2025, Catégories: fh, hplusag, alliance, grossexe, campagne, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... la véranda d’abord pour en finir avec les travaux ?
    — Le jardin, c’est la nature qui commande et c’est le bon moment. La véranda, c’est quand on veut.
    
    Truffe ! Encore une occasion perdue de me la fermer. Mais il ne m’en veut pas et me charge, si j’ai envie, de passer derrière lui griffe et râteau. Même si la terre est légère et sablonneuse, j’ai vite chaud. Je cours me changer, débardeur sans sous-tif et le plus petit short que je trouve. Un vieux truc en jean effrangé et très usé, le genre à enfiler en tortillant trente fois du popotin pour passer les hanches. Peux pas faire plus minimaliste. Et ça avec des bottes, c’est d’un sexy… très rural. Il n’empêche que c’est dans cette tenue que le deuxième jour, quand nous avons terminé, il m’emmène avec lui à la jardinerie pour acheter des plants. J’ai quand même mis des chaussures de toile. On en ramène un plein coffre, sièges rabattus : des tomates, des courgettes, des patates, des fraisiers… Et le lendemain, on plante. J’adore ça. Il me guide :
    
    — Attends, mignonne, le romarin va beaucoup grandir, il faut le mettre plus loin, comme la sauge. Quant aux pieds de rhubarbe, on va les mettre en bas, au frais avec au moins deux mètres d’écart…
    
    Le lendemain, je suis presque déçue qu’il n’y ait encore rien à récolter. L’école de la patience, me dit-il. Il fait la première tonte et récupère soigneusement l’herbe coupée dans un grand trou qu’il a creusé. Puis il m’emmène au bord de la mer, qui n’est qu’à une douzaine de ...
    ... kilomètres, et nous chargeons la remorque d’algues que la mer a rejetées. Dans le trou également.
    
    — Tu vois, herbe, algues, toutes nos épluchures, les coquilles d’œufs, tout ça va pourrir et nous faire un excellent compost. Mais attention, pas de peaux d’agrumes ni de viande ou d’os.
    
    Bien, Monsieur, je me ferai une poubelle à compost. Enfin, on se met à la véranda, du moins à sa préparation. Il a déjà tout calculé. Le vieux mur d’environ deux mètres de haut qui relie la maison à la grange est aussi en piteux état. Il faut le piquer ? Passe-moi la seringue. Ah ben non, il s’agit de faire tomber tout le vieux crépi. On se met dans des états de poussière pas possible. Comme il fait beau, il a déroulé par terre le grand tuyau d’arrosage pour le jardin, un tuyau de plastique noir. Et le soir, quand on arrête, il se fout à poil en me tournant le dos et s’asperge avec le jet en pluie fine.
    
    — Jean, vous êtes fou ! Elle doit être glacée. Allez plutôt prendre une douche, je nettoierai.
    — Mais non, ma belle, elle est chaude, le soleil a chauffé le tuyau.
    — C’est vrai ? Alors j’essaye moi aussi.
    
    Ni une ni deux, je me déloque et m’approche de lui. Il m’asperge. Bon sang, c’est vrai qu’elle est chaude. On joue quelques instants comme deux gamins à s’asperger l’un l’autre, nus comme des vers. J’arrête de rire quand il me fait face. Putain, ce machin ! Son fils ne tient pas de lui, c’est sûr, ni les petits copains que j’ai eus avant. C’est du lourd, du balaise, en accord certes avec la ...
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