Joli Papa
Datte: 28/01/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
alliance,
grossexe,
campagne,
amour,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... me retrouver toute seule dans cette campagne, loin de tout et de tous. J’ai voulu qu’on mette un portail à l’entrée du champ, Arthur l’a fait poser. Mais même… Je vivais avec le portable dans la poche, je sursautais au moindre bruit, et des bruits en campagne il y en a. Plein. Bref, je ne vivais plus. Alors quand Arthur, inquiet par l’état de son père, a proposé qu’on le prenne chez nous quelque temps, j’ai tout de suite dit oui. C’est ainsi que Jean est venu occuper la seconde chambre de notre maison.
Ils l’ont attrapé, ce méchant virus. Trop bête ! Des amis de trente ans qui sont passés les voir en allant se confiner au bord de la mer. Bien sûr, ils ne se savaient pas encore contaminés, ils ne l’ont pas fait exprès. Mais c’était fait. Tous les deux bien touchés, bien malades, direction les urgences. La robuste constitution de mon beau-père lui a probablement sauvé la vie. Mais Huguette, sa petite femme toute frêle avec un souffle au cœur, n’a pas tenu le choc en réa. On n’a même pas pu l’accompagner à sa dernière demeure. Ça a été terrible pour mon mari. Du coup, ça a précipité notre déménagement de Rennes jusque dans la campagne normande. Normande ou bretonne, on sait pas trop, on doit être sur la « frontière », à peu près au niveau du Mont-Saint-Michel. Mais pas au bord de la mer, c’était bien trop cher. On a trouvé une petite ferme en assez bon état pas trop loin d’un petit bourg charmant où il y a l’essentiel : un boulanger et une supérette. L’important pour ...
... Arthur, c’est qu’il y avait la fibre, indispensable pour le télétravail. Il est chef comptable à l’agglo rennaise. Lui au moins a pu continuer à travailler.
Moi, ça a été chômage technique pendant des mois pour, au final, déboucher sur un licenciement. Normal. J’étais réceptionniste dans l’un des plus grands hôtels de Rennes, fermé pendant près de deux ans, l’un des rares à ne pas appartenir à une chaîne, gestion familiale privée. Malgré les aides, les propriétaires n’ont pas pu suivre. Au bout de deux ans sans utilisation, sans clients donc sans revenus, il aurait fallu faire plein de travaux. Et la reprise était très lente. Rennes est plus une ville d’affaires que de tourisme, les gens y passent, mais préfèrent le bord de mer. Alors ils ont dû se résoudre à mettre en vente. Mais comme la punition était la même pour tout le monde, on ne se précipitait pas pour acheter l’énorme bâtiment. Je suis donc passée du chômage technique au « vrai » chômage. Ces patrons adorables ne pouvaient évidemment pas nous verser d’indemnités de licenciement. Alors plutôt que de voir leur « capital retraite » dispersé à l’encan, ils ont proposé aux personnels de récupérer ce qu’ils souhaitaient dans l’hôtel. Ça tombait bien pour meubler notre nouvelle maison. On a loué un fourgon et on a récupéré deux chambres complètes parmi les plus récentes, une table de déjeuner et six chaises, du linge de maison en quantité, un peu de vaisselle, des télés et d’autres bricoles.
En arrivant ici, mon beau-père ...