1. Joli Papa


    Datte: 28/01/2025, Catégories: fh, hplusag, alliance, grossexe, campagne, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Pourtant je ne suis pas à poil.
    
    — Jean, il reste toujours comme ça, demandé-je d’une voix étranglée ?
    — Non, mais je pensais à toi et à ce que j’allais te faire.
    
    Là je m’étrangle en avalant le caoua. Il prend nos tasses et les pose dans l’évier puis revient vers moi. D’un geste, il vire ma chemise de nuit. Sa bouche couvre la mienne, sa langue au goût de café me fouille. Je ferme les yeux, je fonds. Une grosse paluche sur une fesse, l’autre sur un sein, et il pétrit. Je fonds pour de bon, parce que ça coule dans ma culotte. Il doit lire dans mes pensées, pas possible, parce qu’il s’accroupit et baisse mon slip, un pied, l’autre, à poil la fille. Mais sa bouche plonge entre mes jambes. Pas vrai. Il hume, lape. Je suis contre la table, je m’appuie sur les mains. Mes jambes, ces connes, s’écartent sans me demander la permission. Et le bonhomme en profite, toute langue dehors. Putain ce que c’est bon ! Je le jure, jamais un mec ne m’a fait ça. Ja-mais. C’est peut-être con, mais c’est comme ça. Je sens même que ça me coule sur les cuisses et je me mords les lèvres. Il se redresse enfin, la bouche et le menton détrempés.
    
    — Tu es délicieuse. Goûte comme tu es bonne…
    
    Il m’embrasse à nouveau avec ce goût acidulé qui a remplacé celui du café. Ouais, c’est pas dégoûtant, mais pas terrible non plus. T’imagines si j’adorais ça ? Comment je ferais pour aller me siroter là en bas ? Il me soulève et m’assoit sur le bord de la table et doucement me pousse pour m’y étendre, les ...
    ... jambes dans le vide, autour des siennes. Puis il me prend les seins dans ses grandes mains, par la base en les pressant fort. J’ai les bouts qui giclent en avant et se dilatent, aréoles et tétons. Et il suce, lèche, pompe, tète comme le ferait un énorme bébé. Ça me rend folle. Ça non plus, on ne me l’a jamais fait. Ja-mais. Je manque d’air. Qu’est-ce qu’il va encore inventer le roi de la torture ? Simple, il tire une chaise à lui et s’assoit. Il me bécote l’intérieur des cuisses, là où c’est trop sensible, des genoux au pubis en frottant ses joues fraîchement rasées. Et puis, au final, sa bouche revient sur ma chatte qui est en train de bâiller aux corneilles. Normal, avec les cuisses ouvertes. Et le bonhomme se délecte, lèche, lape, aspire mon jus qui coule comme un robinet qui fuit. Deux de ses doigts étirent ma peau, je sens l’air frais sur mon bourgeon qui vient de perdre sa capuche, pauvre petit chaperon rose.
    
    — Oh non ! protesté-je faiblement.
    — Oh, mais si !
    
    Non, c’est pas de jeu. Ce truc-là c’est mon jeu à moi, rien qu’à moi, il a pas le droit. Il a le gauche… Sa langue, puis ses lèvres, puis sa langue qui fouette mon bouton pincé par ses lèvres. Que veux-tu que je fasse ? … Je jouis. Première décharge de 380 V, je me secoue en mordant mes lèvres. Et je sens bien qu’un flot quitte mon minou et coule sur mon trou de balle avant de finir sur la table. Il n’en a pas le temps, la langue de Monsieur le rattrape au vol et s’en délecte. Il me lèche la rondelle, y fourre ...
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