1. Joli Papa


    Datte: 28/01/2025, Catégories: fh, hplusag, alliance, grossexe, campagne, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... même la pointe de sa langue. Ben ça non plus, on ne me l’avait jamais fait. Ja-mais. Pas plus que de remonter à la source et de la fourrer très loin dans ma chatte. Oh cet effet ! Ce n’est même pas racontable. Il explore tout en détail, le spéléo de ma grotte. Et puis soudain, il ajoute les doigts. Et c’est comme s’il y en avait partout. Dans ma chatte, sur mon clito, même un qui me rentre dans le cul. Là c’est trop, trop à la fois. Re-choc électrique ! Ouais, mais là c’est pas un défibrillateur, au contraire, je vais finir en arrêt cardiaque, moi. Il se redresse complètement et approche son visage du mien sans cesser de me caresser. J’ai l’impression que tout mon corps n’est plus qu’un immense clitoris.
    
    — Tu es belle, si belle… Et tu jouis, si vite, si facilement, si bien… Petite fleur d’amour…
    
    C’est joli ça, j’aime bien. Il m’embrasse encore une fois puis présente son énorme machin devant ma minouchette détrempée. Je vais le sentir passer. Même pas. Si, je le sens bien, comment ne pas sentir pareille intromission ? Mais ça glisse tout seul, enfin, jusqu’à ce que ça touche le fond. Et Monsieur a du rab. Mais Monsieur prend son temps, progressif, mais tenace. Il en profite pour me soulever les jambes sur ses bras et venir s’emparer à nouveau de mes seins. Pas comme la première fois, en les pétrissant cette fois, comme des pamplemousses sur un presse-agrumes, et surtout en pinçant les bouts entre pouce et index. Ah la vache ! Là je vais mourir. D’autant plus qu’il est ...
    ... en train de me repousser les boyaux jusque dans la gorge. Je suis défoncée. Je manque vraiment d’air. Je me sens mal. Je vais m’évanouir. Nouveau choc électrique ! Je m’arc-boute sur les fesses et la nuque et là je crie. Je le sais parce que j’entends mon cri résonner dans la pièce. Autrement, c’est comme si je n’étais plus dans mon corps. Le Monsieur joue avec comme avec un jouet, et moi je regarde. De haut. De très haut. Je n’ai pas mal, pourtant il est complètement rentré en moi, je sens ses gros testicules frapper mon anus. Il a l’air content, il me regarde, me pelote, se penche pour m’embrasser. Je suis sur mon nuage, bien, infiniment bien. Je ne veux plus redescendre. Ô, Jean, fais en sorte que je reste là-haut. Mon corps se secoue à nouveau, je ne sais même pas pourquoi. Parce qu’il aime ça, sûrement. Maintenant qu’il l’a découvert, il s’en donne à cœur joie. Il me prend sous la taille et me redresse. Il veut que je me cramponne à son cou et mes cuisses à ses hanches. Oui, Jean, tout ce que tu veux, mais reste en moi. Il me monte à l’étage comme ça, embrochée sur sa queue, et je prends une décharge à chaque marche.
    
    Le vieux filou avait bien préparé son coup, le lit est refait de frais. Il m’y dépose délicatement. Quelle puissance, quelle force ! Car je ne suis pas une poupée de porcelaine avec mon mètre soixante-dix et mes soixante-deux kilos. Et là je me sens bien, délicieusement heureuse, là où je voulais être. Toujours arrimée à lui de mes quatre membres, lui sur ...
«12...121314...18»