Joli Papa
Datte: 28/01/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
alliance,
grossexe,
campagne,
amour,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... s’endort. Pas de quoi fouetter un chat.
— Misère ! … Je commence à comprendre. Et tu n’as pas eu d’autres expériences avec d’autres hommes ?
— Si, je vous l’ai dit. Un garçon rencontré au bal dans mon patelin, et puis deux autres pendant mes études, des histoires brèves et sans lendemain, sans souvenirs particuliers. C’était surtout pour faire comme les copines. Les mêmes copines se disaient folles amoureuses et puis au retour des vacances elles avaient été remplacées. Elles pleuraient pendant des jours, certaines voulaient se suicider et avaient retrouvé un autre copain le mois suivant. Arthur, lui, était toujours là, qui m’attendait, heureux de me revoir. Je crois que c’est pour ça que je l’ai épousé, pour sa fidélité simple et sans grandes effusions. J’étais avec lui, il était avec moi, c’était normal, pourquoi chercher ailleurs. C’est juste en vous voyant costaud, actif, puissant, et avec… un sexe qui m’a paru énorme que… enfin, ça me fait des choses, quoi.
— D’accord, d’accord… En tout cas, je peux te dire une chose, la taille du sexe n’a rien à voir avec le plaisir qu’il donne, c’est la façon de s’en servir. Et pour ça, malheureusement, on n’est pas livré avec le mode d’emploi. Ce n’est pas simple, tout ça, je vais y réfléchir. Bon, c’est pas tout ça, je voudrais bien terminer de piquer ce mur ce soir. Si tu veux, tu peux tirer un cordeau entre l’angle de la maison et celui de la grange et répartir les gravats sur cette surface.
C’est déjà ça, la glace est ...
... rompue et je retrouve ma place d’ouvrière du bâtiment. Arthur téléphone. Il avait une réunion qui s’est prolongée, il a raté le bus, je dois aller le chercher à Rennes. J’y vais, malgré les embouteillages du soir sur la rocade. Retour vingt et une heures trente et encore je le laisse au bourg pour qu’il récupère son vélo. Jean nous hèle, il a préparé à dîner. Sympa. Je sens Arthur agacé, c’est rare. Il prévient que ça arrivera d’autres fois, les réunions se multiplient depuis qu’on pense la pandémie terminée ou tout comme.
Lendemain matin, sept heures et demie, mon portable fait ding-dong. Arthur a dû oublier quelque chose. Non, c’est Jean. Un seul mot :« Viens ». Je saute sous la douche en me brossant les dents, coup de peigne, je renfile ma chemise de nuit, mes savates. Que se passe-t-il ? Il m’attend face à la fenêtre, celle qui donne sur le portail, de dos donc, une main sur la hanche, l’autre qui porte un mug de café à sa bouche. Il est… nu ! Putain ces fesses musclées, ces cuisses faisant des parenthèses de chaque côté, et même en ne soulevant qu’une tasse, les boules qui roulent dans son dos en V.
— Tu veux du café ?
— Volontiers…
— Sers-toi, il est tout frais. Et remets-m’en un peu, s’il te plaît.
Il se retourne. Il est comme l’autre soir, avec un barreau de chair devant son ventre. Je le sers, mais je tremble déjà comme une feuille. Le café ne parvient même pas à diminuer la sécheresse de ma gorge. Putain ce sexe ! À l’intérieur, il paraît encore plus gros. ...