1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fh, ff, frousses, fgode, pénétratio, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... visite des mains qui se substituèrent finalement à la bouche. Des mains douces, faites pour caresser, un peu hésitantes mais habiles, qui trouvèrent rapidement les caresses qui plaisaient. La bouche, pendant ce temps continuait sa lente descente vers le ventre qu’elle atteint enfin.
    
    Hésitante, elle embrassa le haut des cuisses, puis fit le tour du mont de vénus. Petit à petit elle se rapprochait du centre des plaisirs. Chaque millimètre gagné provoquait un frisson, une plainte, un soupir de Mireille. Quand finalement les lèvres chaudes d’Aline se posèrent sur celles du sexe de Mireille, celle-ci haletait comme un petit chien. Elle encourageait son amie de la voix et des mains guidant légèrement sa tête, puis appuyant plus fermement lorsqu’elle souhaitait que se prolonge la caresse. Entre les lèvres d’Aline une petite langue pointue se fraya un chemin jusqu’au clitoris de sa blonde amie.
    
    Ce fut comme un choc. Mireille projeta son pubis en avant, ce qui eut pour effet d’ouvrir encore plus son abricot doré aux caresses de son amante. Elle remonta ses jambes pour s’offrir encore plus, pour être fouillée par cette langue tellement indiscrète mais tellement douée pour lui donner du plaisir. Les mains d’Aline quittèrent les seins qu’elles caressaient toujours et vinrent rejoindre la bouche pour fouiller cette intimité offerte aux caresses. Mireille ne pouvait plus s’ouvrir plus. Écartelée, elle soumettait son ventre au bon vouloir de sa maîtresse. Elle ne souhaitait qu’une ...
    ... chose, c’est que ça dure. Longtemps, le plus longtemps possible.
    
    Pourtant elle savait que bientôt le plaisir allait la terrasser et qu’elle ne pourrait pas lutter indéfiniment contre ces cris qui montaient dans sa gorge. Elle ne pourrait pas résister à cette langue qui lui léchait sa petite tige et son bout si sensible. Elle ne résisterait pas non plus à ces lèvres qui la suçaient, exactement de la même manière qu’elle le faisait au sexe de son amant bien aimé. Elle était tour à tour pompée, suçotée, léchée, mordillée, fouillée par la bouche et la langue de son amie. Pour elle, le temps s’arrêta lorsqu’un puis deux doigts tentèrent de la pénétrer, et y arrivèrent. Ils surent tout de suite où toucher pour lui faire perdre le peu de contrôle qu’elle gardait encore d’elle. Son ventre bougeait comme animé de sa vie propre. Elle ne pouvait plus en contrôler les mouvements désordonnés. Chacun d’eux le rapprochait encore plus de la bouche et des mains qui la prenaient, l’écartelaient, l’ouvraient encore plus.
    
    Un doigt quitta le vagin détrempé. Lentement il glissa le long du périnée et arriva face à l’œillet de l’anus. Le bout du doigt prit contact. Un violent sursaut lui répondit. Il tenta un deuxième attouchement. Un gémissement approbatif lui répondit. Alors le doigt s’enhardit, il poussa un peu plus fort sur l’étroite porte qui céda. Lentement une puis deux phalanges pénétrèrent. Pendant ce temps la bouche continuait sa folle sarabande, à l’intérieur du vagin d’autres doigts ...
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