1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fh, ff, frousses, fgode, pénétratio, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... s’agitaient.
    
    Mireille gémit de plus en plus fort, descendit ses mains pour ouvrir plus encore ses fesses aux pénétrations d’Aline. Les doigts de l’intérieur du vagin établirent le contact avec celui qui était dans son petit cul. Ses gémissements se firent cris, sa tête s’agita de mouvements désordonnés, elle inonda littéralement la figure et les mains de son amie, elle jouissait comme une folle. Aline ne s’arrêta pas pour autant.
    
    Son doigt prit possession encore plus profond du cul qui lui était si explicitement offert, elle agita encore plus vite ceux qui occupaient le vagin et suça encore plus fort la tige de son amie. Celle-ci dans un dernier sursaut pour se défendre - mais de quoi ? - ferma ses jambes autour de la tête de sa maîtresse. Prisonnière d’un doux étau de chair, Aline n’eut d’autre ressource que de continuer encore et encore ses caresses. Mireille n’en pouvait plus, dans un dernier cri elle se détendit, tandis que les caresses cessaient petit à petit. Ses mains caressèrent la lourde chevelure rousse et elle murmura :
    
    — Viens m’embrasser. Tu m’as tuée. J’espère que je ne t’ai pas noyée.
    — Non, je suis encore bien vivante, sois tranquille.
    
    Aline remonta vers le visage de son amie. Elle lui tendit ses lèvres, que Mireille lécha à petits coups de langue précis et tendres.
    
    — Tu es trempée. Comme j’ai joui ! Et toi qui prétendais ne pas savoir faire ! Donne-moi tes seins que je les embrasse aussi.
    
    Aline remonta encore un peu dans le lit offrant ...
    ... ses seins à son amante, comme si elle voulait lui donner la tétée. Mireille s’empara d’un bout entre ses lèvres, et de l’autre avec les doigts d’une main. L’autre restée libre descendit vers la toison flamboyante et prit possession du sexe entrouvert. Aline lui facilita les choses et s’offrit complètement aux caresses. Complètement excitée par ce qu’elle venait de vivre, elle était, elle aussi, ruisselante de cyprine.
    
    — As-tu envie d’être pénétrée par une belle queue ? demanda Mireille.
    — Par quoi ?
    — J’ai un superbe vibro d’un bon calibre veux-tu l’essayer ?
    — Je ne sais pas. Je n’ai jamais essayé. Fais ce que tu veux mais fais-moi jouir, vite.
    
    Abandonnant quelques instants Aline, Mireille ouvrit le tiroir de la table de nuit et y prit une copie conforme d’un sexe de mâle bien monté. Elle mit en route le petit moteur, et l’on entendit le ronron discret indiquer qu’il était prêt. Elle s’allongea alors contre son amie et guida le phallus de caoutchouc vers la vulve de celle-ci. Le gland cogna contre les lèvres, glissa quelques secondes à la recherche du clito tendu de désir. Il déclencha de telles secousses que Mireille faillit le lâcher.
    
    — Maintenant, je suis ton homme. Je vais te posséder, tu vas jouir de mon vit, dit Mireille.
    — Oui, si tu veux, je voudrai que ça soit fort. Très fort. Baise-moi, viens.
    
    Elle en perdait la tête. Depuis deux ans elle n’avait connu que les pleurs solitaires, n’avait jamais pu se donner du plaisir, malgré quelques tentatives ...
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