Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 23/07/2019,
Catégories:
fh,
ff,
frousses,
fgode,
pénétratio,
Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
... décarcasse un peu. C’est en général chez lui que Pierre, ton boss, envoie ses clients qui ne savent pas où déjeuner, mais qui ne veulent pas dépenser une fortune.
— Tu le connais bien mon patron ? demanda Aline.
— Pas mal. Depuis le temps que nous vivons côte à côte, on se rend des petits services mutuels.
Par discrétion Mireille ne parla pas de leur mariage prochain. Elle ne voulait pas replonger sa nouvelle amie dans des souvenirs douloureux.
— Allez, sors de là et enfile ce peignoir. Je vais te sécher.
Mireille enveloppa Aline dans un grand peignoir en éponge moelleuse et se mit à lui frotter les épaules et le dos. Elle insista un peu sur les fesses et les cuisses puis la fit pivoter. Le peignoir s’ouvrit et elle put à nouveau contempler le corps magnifique de la jeune femme qui lui faisait face.
— Tu trouves que j’ai de beaux seins ? demanda Aline, je les trouve parfois un peu lourds. Je me demande s’ils resteront longtemps comme cela.
Mireille avait fermé le peignoir pour sécher les seins en question mais aussi pour ne pas être trop tentée. Elle le rouvrit et posa un baiser un peu appuyé sur chacun d’eux.
— Ils sont magnifiques. Il y a largement de quoi faire bander un homme. Ne t’inquiètes pas pour eux, ils sont bien attachés et tiendront longtemps.
En disant cela elle les avait pris dans ses mains en coupe et les soupesait en les flattant.
Elle fit à nouveau pivoter son amie devant la glace cette fois :
— Regarde-toi un peu. Si tu n’as ...
... pas envie de faire l’amour à ce corps magnifique, c’est que tu es ou bonne sœur ou aveugle. Tu as déjà vu des seins pareils, un ventre comme le tien, plat et musclé ? Et ça dit-elle en désignant du doigt la fourrure rousse, tu ne me feras pas croire que ce joli minou si bien épilé te laisse indifférente ? Tu es faite pour l’amour, ma petite, tu n’as pas le droit de te refuser ça.
Elles se retrouvaient à nouveau face à face. Les mains de la blonde pharmacienne étaient toujours posées sur le corps de la rousse secrétaire. L’une comme l’autre étaient troublées. Chacune sentait que l’autre la désirait. Aline leva ses mains et les posa sur la taille de Mireille. Elle l’attira vers elle et l’embrassa. Tout d’abord sur les joues, puis doucement ses lèvres cherchèrent un autre contact. Leurs bouches se trouvèrent. Les lèvres s’entrouvrirent, les langues se cherchèrent et se trouvèrent elles aussi. Elles restèrent l’une contre l’autre se savourant, se dégustant, prenant contact avec le corps de l’autre.
Les mains de la rousse remontèrent le long du corps de la blonde, et à travers le tissu touchèrent les seins ronds et fermes.
— Ils doivent être beaux, les tiens aussi. Fais-moi voir.
Ce disant elle dégagea les épaules de son amie et fit glisser le vêtement. L’encolure était large et l’opération ne présenta pas de difficulté. La gandoura accrocha cependant un peu sur les seins, et Aline dut tirer un peu plus fort pour vaincre l’obstacle.
— C’est vrai qu’ils sont beaux. On ...