1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fh, ff, frousses, fgode, pénétratio, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... permis.
    — Tu t’es fait piéger ?
    — Non j’étais prévenue. Je te l’ai dit c’est un copain. Pendant un temps il a été un peu ma cantine, mais finalement je préfère mon petit chez moi. Pour le soir c’est plus intime.
    — En tout cas c’est une adresse à retenir.
    
    La conversation allait bon train. La vie de la petite ville leur fournissait un bon sujet de conversation et cela permettait à la secrétaire de Pierre de se mettre dans le bain, d’une façon somme toute agréable. La pizza avait laissé la place au gâteau qui s’avéra onctueux et très goûteux. La bouteille de vin avait rendu sa dernière goutte, le café finissait de passer, elles étaient détendues, un peu euphoriques.
    
    Le café pris elles rangèrent verres, assiettes et couverts dans le lave-vaisselle, et finirent de nettoyer la table. Plusieurs fois elles se frôlèrent, à chaque fois l’une et l’autre ressentirent une bouffée de chaleur caractéristique de leurs désirs.
    
    Mireille éteignit les lumières de la cuisine, ferma la porte derrière elle. L’appartement était maintenant dans la pénombre. Dans le couloir entre la cuisine et la chambre, elles se frôlèrent à nouveau. La main d’Aline chercha celle de Mireille.
    
    — J’ai un peu peur. Je n’ai jamais caressé une femme. Mais j’ai envie de toi. Tu me guideras ? Dis ?
    
    Mireille s’arrêta, prit son amie par les épaules, l’embrassa sur les lèvres.
    
    — Tu verras ce n’est pas difficile, et puis je suis sûre que tu es une élève douée. Laisse-toi aller, fais ce qui te passe par la ...
    ... tête, comme si c’était pour toi. Tout ira bien.
    
    Ceci dit, elle lui donna une petite tape amicale sur les fesses, et la prit par la taille.
    
    Une fois dans la chambre, les choses allèrent bon train. En entrant Mireille alluma une lampe de chevet. La lumière douce se reflétait dans les yeux des deux filles. Face à face, elles se dévoraient du regard. Aline le souffle court, tendit la main vers la maîtresse des lieux, la prit derrière la nuque et l’approcha d’elle. Leur baiser fut comme les précédents doux, tendre, passionné.
    
    Mireille profita de ce moment pour débarrasser son amie du déshabillé, puis fit glisser la longue chemise de nuit à terre. Sa compagne entièrement nue eut un frisson de plaisir, fléchit les genoux et pris la gandoura par le bas. Elle commença à la remonter lentement. À partir des genoux elle embrassa à petits coups le corps qui se dévoilait devant elle. Les cuisses puis le mont de venus glabre reçurent ainsi plusieurs dizaines de petits baisers pointus et tendres. Le ventre eut également sa part, les seins aussi. Maintenant Mireille avait les bras en l’air, la tête dans l’encolure de son vêtement, celui-ci au-dessus de la tête. Aline le tint d’une seule main, prenant de son bras libre la taille de sa compagne et l’attirant vers elle. C’est ainsi enlacées qu’elles tombèrent sur le large lit.
    
    Aline commença alors à embrasser le corps de son amie en faisant chemin inverse. Les seins à nouveau qui durcirent sous le tendre assaut, puis ils reçurent la ...
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