1. Promenons-nous dans les bois...


    Datte: 09/01/2025, Catégories: fff, forêt, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, fdanus, aventure, sf, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... et quand la lanceuse de couteaux crut comprendre ce que la tueuse avait en tête, elle ne put empêcher tout son corps de trembler.
    
    — Oh je…
    — Chut !
    
    Adeline était la spectatrice de son propre spectacle. Les doigts de ses compagnes fouillaient dans ses poils noirs et elle frémit quand la Parisii posa sa large bouche sur son pubis.
    
    — On devrait la goûter nature, non ?
    — M’mm… Elle doit être toute salée. Un dessert salé, c’est pas habituel, mais t’as raison tueuse de loups… J’vais la bouffer nature, sa p’tite minette.
    
    Le visage de la bergère s’était collé à celui de son amie et les deux femmes s’embrassèrent encore, leurs mentons sur le pubis de leur victime. Elles étaient toutes les trois dans un état d’excitation proche de la frustration. Si elles attendaient la jouissance libératrice, aucune ne semblait pressée de gâcher ce moment de tension presque exaspérant. La tueuse avait quitté sa position et sa bouche s’était approchée de la chevelure de jais.
    
    — Tu aimes notre petit jeu, ma belle ?
    — Oui…
    — Tu préfères que nous te dévorions ensemble Lilas et moi ou… je peux rester avec toi et t’embrasser pendant que Lilas te fait du bien.
    
    Le regard de la Parisii s’était porté sur son amie et maîtresse. La blonde, menton sur le ventre d’Adeline, souriait et la jeune femme, le corps soudain tremblant, ne répondit pas. La grande chasseresse décida pour elle.
    
    — Bon appétit, Lilas.
    
    La tueuse de loups étouffait les gémissements de sa proie de sa bouche tandis que ...
    ... Lilas dégustait son dessert.
    
    — Ooh…
    
    Quand le corps de la lanceuse de couteaux se tendit comme un arc, la chasseresse mordit doucement une lèvre pleine.
    
    — Tu es très excitante, ma jolie.
    
    L’orgasme qu’avait éprouvé la jeune femme n’avait pas étanché sa soif de plaisir. C’était la toute première fois et d’ordinaire, seule ou en compagnie d’André, un orgasme la satisfaisait pleinement. Elle s’était étonnée d’avoir encore envie de jouir quand la Parisii avait annoncé qu’elle allait enfin pouvoir se régaler. Adeline frémit à peine que la bouche sensuelle se posât sur elle et jouit aussitôt que la langue dure de la tueuse de loups eut bousculé son clitoris.
    
    Une fois leur dessert dégusté, les deux gourmandes avaient tour à tour embrassé la jeune femme et, sans perdre plus de temps, s’étaient occupées à assouvir leurs envies. Adeline, bouche bée, avait donc assisté à leurs ébats impudiques sans pouvoir s’empêcher d’en éprouver un plaisir troublant. Tout en observant ses compagnes, elle songeait qu’elle n’avait jamais éprouvé une telle excitation. C’était certainement dû à la nouveauté d’être entre les bras de femmes, mais il n’y avait pas que cela. Les attouchements et les caresses buccales qu’elle partageait avec André étaient certes agréables, mais n’avaient rien eu de comparable avec ce qui s’était passé cette fois. Viviane l’avait beaucoup excitée, mais là, elle était avec deux femmes aussi complices que jouisseuses.
    
    La lanceuse de couteaux s’était octroyé André ...
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