1. Promenons-nous dans les bois...


    Datte: 09/01/2025, Catégories: fff, forêt, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, fdanus, aventure, sf, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... en était presque satisfaite. Elle s’était réservé cette chasse. Sa plus grande ennemie n’était pas une louve. C’était une humaine, mais la reine des loups la voyait comme une rivale. Une femme, jusqu’ici inaccessible, qui restait hors de portée de ses ennemis. Cette tueuse de loups vivait en permanence sur les hauteurs et faisait des ravages parmi la horde. C’était la dernière adversaire de la meute et elle n’était plus là. Elle semblait avoir disparu. C’était très bien ainsi.
    
    Paris n’avait pas besoin de deux reines…
    
    La dénomination des jours et des mois n’avait pas changé, tout comme le dimanche était redevenu le jour dédié au repos pour celles et ceux qui le désiraient.
    
    La douce voix de Lilas accueillait leur invitée et Lyrie se sentit soudain un peu mal à l’aise. Elle avait lu tant de choses et par le fait, connaissait tout un monde peuplé de coutumes et de lois qui avaient existé et que les autres ignoraient. Les yeux de la bergère avaient brillé d’excitation quand elle lui avait raconté sa conversation avec Adeline. La charmante gardienne de chèvre avait paru ravie et excitée par l’idée de son amie et maîtresse, mais ces démonstrations n’avaient pas soulagé la tueuse de loups. La Parisii avait aussitôt regretté son initiative envers la lanceuse de couteaux. Cette dernière était très jeune et dans l’ancien monde, elle n’aurait été qu’une très jeune femme. Toutefois, l’image de la fille jouant à broute-minou avant de sucer le membre d’un amant de son âge, ...
    ... démontrait que les temps avaient changé. Il n’était plus question des temps anciens.
    
    Au lever, la bergère était restée un long moment dans la salle d’eau et était ressortie proprette, parfumée au chèvrefeuille et coiffée. La jolie blonde avait lissé ses longs cheveux et les avait laissés libres de toutes attaches comme pour les nuits. D’ordinaire, en journée, Lilas portait une queue de cheval ou élaborait rapidement un vague chignon. C’était la tenue de son amie qui avait le plus étonné la tueuse de loups. Elle portait une tunique sans manches qu’elle n’avait jamais vue. De la laine teintée d’ocre. Un décolleté en rond dégageait la gorge et la tunique ne cachait pas les genoux. L’air un peu ahuri de la Parisii avait fait réagir sa maîtresse et elle avait ri en la prenant par le bras.
    
    — On dirait une oie d’vant un coucou suisse !
    — C’est quoi… un coucou suisse ?
    — J’sais pas… C’est juste une expression pour dire qu’tu comprends pas. File te laver ! J’ai préparé ta tenue…
    
    D’abord, la tueuse avait refusé le cadeau de sa compagne. Elle avait rechigné et râlé, mais son amie avait paru si déçue qu’elle avait fini par lui céder. Elle avait donc revêtu la tunique que la bergère avait conçue de ses propres mains tout spécialement pour elle. Une peau de daim fine et souple laissée dans sa couleur naturelle. Un profond décolleté découvrait la naissance des seins lourds et épousait chaque mouvement du corps. Si le vêtement couvrait ses genoux, il était fendu sur les côtés et ...
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