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Promenons-nous dans les bois...
Datte: 09/01/2025, Catégories: fff, forêt, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, fdanus, aventure, sf, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... par bravade d’abord, et pour s’affirmer en tant que femme ensuite. Viviane avait été une belle et agréable surprise. Aujourd’hui, les deux amies qui l’avaient invitée à cette promenade, ne s’étaient posé aucune question et l’avaient traitée en femme faite. Ni l’une ni l’autre n’avait rien demandé en échange de ses bons soins. Et surtout, elles avaient su faire de cette première expérience un jeu. Un jeu terriblement troublant. Tout du long, elle s’était sentie impuissante et utilisée. Elle s’était vue en place de la poupée de chiffon qu’elle dirigeait dans les jeux de son choix quand elle était plus jeune. La jolie brune avait adoré ça. Et maintenant, elle découvrait d’autres plaisirs inconnus. Si elle était en sueur, Lilas et Lyrie s’étaient bien plus activées qu’elle-même et baignaient littéralement dans leur jus. Adeline ne pouvait pas détacher ses yeux des deux corps enlacés et luisants de sueur. Elle était comme subjuguée par ces deux amantes qui gémissaient en explorant leurs corps de leurs mains fébriles. La jeune femme était fière de ses petits seins ronds et fermes, mais appréciait la vue des poires un peu plus grosses de la bergère, dotées de petites pointes dures à peine plus foncées que sa peau. Des seins qui tombaient un peu, mais qui restaient très excitants à regarder, tout comme l’était sa petite forêt de poils très clairs clairsemée. La lanceuse de couteaux sentit son ventre se réchauffer quand la blonde, sa petite main soutenant un sein lourd suça ...
... goulûment le téton épais et sombre de sa maîtresse. La tueuse de loups à demi allongée à un pas d’Adeline gémissait en écartant ses cuisses et dans un premier temps, Adeline n’en crut pas ses yeux avant de réaliser qu’elle ne rêvait pas. Le clitoris de Lyrie pointait insolemment et semblait presque aussi gros que les épais tétons que son amante tétait avec force bruits de succion. Quand les doigts de la gardienne de chèvre vinrent pincer le surprenant organe, la voyeuse sentit ses joues la brûler. Jusqu’ici elle n’avait vu que son propre clitoris et Lilas ne semblait pas étonnée par la taille de celui qu’elle suçait. Quelque peu déconcertée, la voyeuse qu’elle était devenue reporta alors son attention sur le corps de la gardienne de chèvres. Elle aussi s’était écartée et se caressait sans la moindre pudeur tout en suçant les gros seins de la tueuse de loups. L’espace d’un instant, le regard noisette eut accès au petit bouton rose que la bergère malmenait doucement. Le clitoris de la blonde n’avait rien de l’ampleur de celui de la brune. Quand Adeline s’aperçut que Lilas se masturbait les yeux fixés sur elle, elle crut que son ventre allait prendre feu. Un râle voilé lâché par la Parisii tira la jolie brune de ses rêves éveillés et le spectacle que lui donnaient les deux femmes prit une autre tournure. À quatre pattes au-dessus du grand corps de la tueuse de loups, le visage plongé entre ses cuisses musclées, la bergère ondulait des hanches sous la bouche qui la dévorait. ...