Promenons-nous dans les bois...
Datte: 09/01/2025,
Catégories:
fff,
forêt,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
nopéné,
fdanus,
aventure,
sf,
lesbos,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... hommes disponibles si besoin, mais j’veux cette salope…
Sans même l’avoir vue, le bourgmestre détestait cette Lyrie Montmartre. Il n’y en avait plus que pour elle depuis son arrivée. Et ça, ce n’était pas bon. Trop de monde admirait la fameuse tueuse de loups. Une femelle ! Ce n’était pas bon du tout…
Naturellement et sans se poser de question, la Parisii s’était imposée en meneuse de bal. Malmenée par une excitation intense, elle savait qu’elle devait faire de ces instants de délicieux moments. Pour cela, elle devait se servir d’une arme qu’elle connaissait bien. La patience avait toujours été une fidèle complice, même si cette fois elle aurait fort à faire pour s’en faire une alliée. L’excitation et le désir pesaient sur sa gorge et son ventre, et elle n’avait qu’une envie. Se laisser aller à la jouissance.
— Enlève-lui son haut.
La bergère s’était aussitôt exécutée et toutes deux se repaissaient des petits seins ronds et fermes de leur dessert, allongé sur l’herbe. Après avoir demandé à la jolie brune de ne plus bouger, la tueuse avait déposé le pot de sirop de myrtille sur son ventre nu.
Bientôt, l’endroit ne fut plus troublé que par les soupirs des trois femmes, les émois d’Adeline couvrant pourtant ceux de ses deux tortionnaires. Les bourreaux délicats enduisaient les seins de leur victime du jus sirupeux des myrtilles avant de lécher sa peau ou de téter les petites pointes sombres dressées par l’excitation. Ce petit jeu lui avait semblé durer une ...
... éternité et là, la proie des deux femmes se sentit rougir quand la Parisii baissa sa jupe sur ses cuisses. Elle manqua d’air quand, une fois entièrement nue, elle regarda les mains de ses amies sur ses chevilles et crut bien défaillir après qu’elles lui aient largement écarté les jambes, restant à la regarder un long moment. La lanceuse de couteaux, pieds en l’air, ne put s’empêcher de regarder son propre corps. Sa toison noire était une forêt sombre après un orage et sa fente rosée béait comme une plaie ouverte.
— C’est pas étonnant qu’ta jupe soit tout humide, ma belle.
Adeline rougit encore en remarquant que l’intérieur de ses cuisses brillait. Si elle transpirait, ce qu’elle voyait sur ses cuisses n’était pas de la sueur. Sans la lâcher, les deux femmes s’étaient embrassées et après avoir déposé ses pieds de chaque côté de leurs genoux, elles s’étaient mutuellement déshabillées. Écartelée sur la couverture, la jeune femme haletait sans pouvoir détacher ses yeux des corps nus de ses tourmenteuses soudés l’un à l’autre. La tueuse avait glissé un doigt entre les lèvres brûlantes du sexe de sa maîtresse et la blonde avait poussé un soupir.
— Tu es toute mouillée toi aussi… Tu veux reprendre du dessert ?
— Oui…
— Alors, viens.
Dans le même temps, les deux amantes s’étaient penchées sur le corps de leur dessert et la jolie brune poussait un gémissement rauque avant même que les autres ne la touchent. La grande main de la chasseresse débarrassa son ventre du pot de sirop ...