1. Promenons-nous dans les bois...


    Datte: 09/01/2025, Catégories: fff, forêt, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, fdanus, aventure, sf, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... Adeline ne pouvait plus faire autre chose que fixer les fesses que la tueuse écartait de ses mains. Tête décollée de l’herbe, la chasseresse léchait la fente trempée de la jolie blonde et parfois s’égarait pour titiller son anus à peine plus sombre que sa peau. La lanceuse de couteaux avait retenu son souffle quand la chasseresse avait approché son pouce du petit orifice qu’il désirait prendre et cessa de respirer au moment où le doigt s’enfonçait doucement dans le petit trou qu’il venait de forcer. Le léger soubresaut qui convulsa le corps dégouttant de sueur de la bergère et la petite plainte étouffée qui suivit sortirent la jeune femme de son rêve éveillé. Lilas semblait jouir avec une force qu’elle-même ne connaissait pas. Adeline, sans paraître se rendre compte de son geste, avait passé ses doigts sur sa fente de nouveau gluante.
    
    La blonde s’était effondrée sur sa maîtresse qu’elle chevauchait. Un instant, elle se demanda si Lyrie, le visage entre les cuisses de sa maîtresse, n’allait pas finir par manquer d’air. Le corps de la gardienne de chèvre était inerte, mais les légers mouvements de sa chevelure dorée démontraient qu’elle ne restait pas inactive. Quand la tueuse poussa un cri étouffé, la voyeuse laissa ses doigts entamer une danse lente sur son bouton de plaisir. Il lui sembla que la jouissance de la Parisii était tout aussi puissante que celle de Lilas. La bergère se dégagea du corps sur lequel elle était vautrée en poussant un profond soupir et les yeux ...
    ... lavande se portèrent sur la voyeuse. Elle la fixa un instant avec un air amusé teinté d’excitation.
    
    — Continue, ma jolie…
    
    La blonde lui souriait et Adeline se rendant subitement compte qu’elle se caressait sans vergogne, remonta sa main sur sa cuisse dans un geste vif.
    
    — Quoi ?
    
    La voix grave de Lyrie qui émergeait de son long orgasme fit tressaillir Adeline.
    
    — Rien, ma grande. J’parlais à notre délicieux dessert…
    
    La grande Parisii s’était lentement tournée vers la lanceuse de couteau et après lui avoir souri, laissa retomber sa tête sur l’herbe et ferma les yeux en lâchant un long soupir d’aise. Lilas, elle se contenta d’un clin d’œil adressé au délicieux dessert devenu subitement cramoisi.
    
    Ses deux mains sagement posées sur ses cuisses, Adeline avait le plus grand mal à respirer correctement. Elle n’avait jamais connu une telle excitation et la frustration d’avoir cessé de se caresser lui enserrait la gorge.
    
    Comme tous les autres habitants de Jablines, Paul l’idiot détestait le bourgmestre de Mirmont. Gédéon était pourtant le personnage qu’il valait mieux avoir de son côté. Il était l’homme le plus puissant des sept villages et il ne l’était pas devenu à force de gentillesses et de bontés. Tout le monde craignait le chef de la plus grande communauté de ce côté-ci de Paris. Tout le monde sauf cet imbécile de Gilles et ce crétin de Victor. Pourtant, même eux ne le voulaient comme ennemi et n’osaient pas le défier ouvertement.
    
    Paul avait entendu certaines ...
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