Homejacking
Datte: 05/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica
... crie Lucia. Bon, on la suspend, il y a la rambarde des escaliers qui fera l'affaire.
Lucia jette une corde tirée de leur sac sur le sol. En un tour de main ils ont attaché les poignets de ma femme à la corde, l'autre extrémité à un barreau de la rambarde qui donne dans le salon. Les bras de Sandrine sont tirés vers le haut tandis que son buste penche vers l'avant. La position est sûrement très inconfortable, car ils ont tiré au maximum, son fessier est largement offert, ses seins assez lourds pendent comme deux outres de manière presque vulgaire mais excitante.
Lucia prend une large ceinture de cuir qu'elle replie en deux et frappe les fesses de Sandrine. Sans pitié. Fort. Sandrine crie. Immédiatement une large trace rouge s'inscrit sur la peau claire. Lucia enchaîne les coups en changeant de position pour que les deux fesses marquent de manière égale. Sandrine crie de plus en plus fort. Lucia ne demande pas où sont les bijoux. Sandrine ne supplie pas pour que les coups cessent. Le truand a les yeux exorbités. Je bande, de l'âne je suis passé au taureau, mon cœur bat comme un forcené, je suis prêt à éjaculer. Soudain la fille stoppe les coups et caresse les fesses écarlates. Elle passe ses ongles sur les rougeurs avec une visible satisfaction aux sursauts de la victime. Sa main suit le sillon qui sépare les fesses martyrisées jusqu'au sexe, enfonce un ou deux doigts, les retire et les goûte d'un air satisfait puis lâche un « la salooope! » en claquant une fesse de la ...
... main. Elle tend le cuir à son complice.
— À toi, elle est pire que la fontaine de Trévi!
— Je lui verserais bien mon obole, répond le truand.
Le type lui fouette les seins à l'aide du cuir. Les coups ne sont pas violents, juste appuyés. Les seins s'agitent dans tous les sens, s'entrechoquent comme des ballots. L'homme fait une remarque :
— On dirait des sacs d'entraînement pour la boxe!
Il pose la ceinture et les frappe avec les poings, pas très fort, puis alterne avec la paume des mains pour les gifler. Les coups sont de plus en plus accentués. Sandrine crie.
— Ah, j'aime mieux ça, dit le boxeur. Je commençais à me prendre pour une lavette.
Lucia s'approche de moi avec un sourire carnassier. Elle a la démarche d'un félin, son regard est hypnotique.
Je me rends compte soudain qu'elle me branle, doucement, délicatement. Je me laisse faire. Je sens mon membre dur comme de l'acier, tellement raide qu'en fait je ne le sens presque plus. Je soupire, je gémis, je râle. Je sens que la rousse accentue son mouvement, je vois son expression, fière de me tenir en son pouvoir, au bord de la jouissance.
— Où est-ce que tu veux décharger? Sur le cul de ta femme? Sur sa gueule? Qu'est-ce qui est le plus excitant? me questionne-t-elle.
Je suis tellement au bord de l'explosion que je ne comprends pas qu'elle me parle.
— Lève-toi! ordonne-t-elle en me tirant par ma laisse de chair.
J'obéis mécaniquement. Mes reins se creusent. Ma volonté n'est qu'orgasme. Je ...