Homejacking
Datte: 05/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica
... Sandrine.
— Je me retire, tant pis!
— Nooon, je ferai ce que tu voudras! Fais-moi jouir! Je t'en supplie...
La rousse retire son avant-bras puis sa main laissant un immense gouffre béant. Sandrine pleure de frustration.
— Elle ne va pas tenir tout le week-end, sourit la rousse.
— Qu'est-ce qu'elle vous a fait pour que vous ayez une telle haine?
Je me décide à demander à la fille de me raconter son histoire.
— Qu'est-ce que ta pute de femme m'a fait? Mais tu as bien vu la pute que c'est! Cette salope se fait défoncer le cul devant toi et elle en redemande! Et toi, mon salaud tu bandes comme un âne, ça te plaît. Tu devrais reconsidérer ton rapport avec cette traînée. Parce que je vais te dire... j'ai eu le malheur d'avoir une jeunesse tordue, petits larcins, drogue, et pour finir la taule. Je me suis fait embaucher dans la boîte de ta greluche, évidemment sans rien dire de mon passé. Comment ta femme l'a découvert j'en sais rien. Une DRH, ça doit avoir des relations, je suppose. Bien après avoir été embauchée elle m'a convoquée dans son bureau. J'avais fait une connerie. Elle m'a tout déballé. Ma connerie plus mon passé que j'avais caché, j'étais bonne pour retourner en taule. Sauf si je lui faisais quelques faveurs. Dans ce cas elle pourrait ne pas révéler mon passé et se débrouiller pour que ma connerie soit atténuée en mise à pied provisoire et mise à l'épreuve. Mise à l'épreuve dans son service, évidemment. J'ai pas eu d'autre choix que d'accepter. ...
... Tous les lundis matin, je passais sous son bureau, je lui lavais la chatte avec la langue. À croire qu'elle ne se nettoyait pas le dimanche après que vous baisiez, il y avait toujours un mélange de sperme et d'urine qui traînait dans sa vulve. Elle le faisait exprès cette salope. D'autant qu'elle enserrait ma tête entre ses cuisses quand je faisais la dégoûtée... Parfois j'entendais d'autres personnes discuter avec elle dans son bureau, mais ça ne la gênait pas, elle me pressait le visage contre sa chatte pour que je continue. Au contraire leur présence l'excitait d'autant plus. Elle me faisait mettre à poil sous le bureau, ça l'excitait cette putasse. Je pouvais passer plus d'une heure dessous. En sortant de mon antre, elle exigeait que je la remercie de sa générosité envers moi en lui baisant les pieds et en restant comme ça, prosternée, à poil, la bouche sur ses pieds. Des fois, il fallait que je me branle et que je jouisse à ses pieds en les lui léchant. Mais au fil des semaines cette humiliation ne l'a plus contentée, elle a voulu plus. Et tu me demandes ce que c'est la haine?
— Ouais ça nous dit pas où sont planqués les bijoux! grogne le truand
Le truand s'impatiente depuis un moment.
— Tu as raison, d'autant que me souvenir des saloperies de cette putain me donne envie d'être méchante, reprit la rousse.
— Tu causes ou tu vas chanter, dit le mec à Sandrine en la secouant.
— Je n'ai rien d'autre que quelques bijoux dans ma chambre. Rien.
— Menteuse! lui ...