1. Homejacking


    Datte: 05/01/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cล“ur Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    โ€” À poil!
    
    Les deux intrus masqués ont déboulé dans le salon et crié de ne plus bouger à plusieurs reprises. C'est leur deuxième ordre.
    
    โ€” À poil et plus vite que ça, je ne vais pas le répéter cent fois.
    
    Sandrine, ma femme, frémit devant le flingue pointé sous son nez. Enfoncée dans le canapé, elle est blottie contre moi et tremble comme une feuille d'automne prête à s'envoler sous le vent de l'hystérie. Je tente quelques mots, mais je reçois un « ta gueule! » viril. Le comparse qui me semble être une comparse n'a rien dit pour l'instant, elle observe ma femme, mais son visage masqué m'empêche de jauger son expression. Les deux intrus sont cagoulés par une sorte de bas opaque, découpé au niveau du nez et de la bouche. Leur corps est recouvert par une chemise ample. Ils portent un pantalon style treillis militaire et des baskets. Je ne m'y connais pas vraiment en armes mais leurs flingues ressemblent à des Beretta.
    
    Je me lève du canapé et fais lever ma femme. Comme elle reste sans réaction, pressée contre moi, je commence à la déshabiller. Celle que je soupçonnais être une femme intervient. Au son de sa voix, il n'y a plus de doute.
    
    โ€” Qu'elle le fasse elle-même! ordonne-t-elle.
    
    Ma femme lève la tête vers la source du son comme si elle venait de se réveiller. Elle demande :
    
    โ€” Qu'est-ce que vous voulez?
    
    L'autre, le viril, répond :
    
    โ€” Que tu te foutes à poil, je le répéterai plus. La prochaine fois, je cogne.
    
    Je dis à ma femme qu'il vaut mieux qu'on ...
    ... obéisse. Notre maison est isolée, des cris, même des coups de feu n'attireraient personne. À ce moment, je regrette de ne pas avoir un chien. Mais face à un flingue, il n'aboierait pas longtemps...
    
    Sandrine a commencé à défaire les boutons de sa large chemise. Je fais de même. À cette heure tardive de l'été, nous ne portons que des tenues légères. La chemise de ma femme est au sol. Elle fait glisser son slip le long de ses cuisses. Les deux intrus la matent sans vergogne. Le silence est pesant.
    
    J'ai enlevé mon jean et mon slip. Ma femme et moi sommes nus devant les envahisseurs.
    
    โ€” Tournez-vous, mains croisées dans le dos!
    
    L'homme nous lie les mains avec des ty-rap, ces colliers de serrage autobloquants en plastique qui ne peuvent être défaits. J'aperçois un sourire sur les lèvres de la fille.
    
    โ€” À genoux! crie-t-elle en accompagnant l'ordre d'un mouvement de l'arme vers le sol.
    
    Nous nous exécutons. La fille savoure sa domination, aux effets visibles malgré son masque.
    
    L'homme éructe enfin la raison de leur présence :
    
    โ€” Votre coffre, sa localisation et sa combinaison. Si vous ne faites pas les malins et ne nous énervez pas, on ne fera pas les méchants. Sinon vous passerez un mauvais week-end. Un très mauvais week-end.
    
    Je m'étonne. C'est spontané.
    
    โ€” Mais quel coffre?
    
    โ€” Celui que vous avez ici! Si tu commences comme ça, je vais être obligé de m'occuper de ta femelle, ce sera avec plaisir. Pour moi.
    
    Il ajoute en direction de sa complice tout en ...
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