Homejacking
Datte: 05/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica
... la suis. Je la suivrais jusqu'au bout de la jouissance, jusqu'à l'épuisement de la dernière goutte de mon essence laiteuse. Les fesses écarlates de ma femme m'attirent comme une lumière attire la luciole. Le claquement des battoirs du truand sur ses miches synchronise mon rythme cardiaque. Ses cris répètent des suppliques à mes oreilles. La rousse me branle avec force mais il n'en est nul besoin. J'explose. Je me désintègre. Tout jaillit sur ce cul couleur incendie. Je ne croyais pas pouvoir libérer autant de foutre. L'évidence est que j'aime plus ma femme en maîtresse chanteuse salope fouettée martyrisée et marquée de toutes couleurs qu'en épouse au quotidien bourgeois respectable. Lucia presse ma bite pour extraire le dernier jus. Elle l'essuie dans la raie de Sandrine. Le truand cesse de jouer au boxeur. Il détache son punching-ball. Lui et sa comparse nous poussent dans le canapé. Sandrine et moi ne faisons aucun geste de défense. Pour des raisons différentes, nous sommes épuisés.
— J'en peux plus tellement j'ai envie de la baiser, murmure le truand.
— Ça fait pas partie du deal, répond la rousse.
Ma femme larmoie « baise-moi, baise-moi », les yeux mi-clos à moitié inconsciente. Je ne sais pas à qui elle s'adresse, mais je me remets à bander. Jamais je n'avais été aussi vite remis en condition. J'ai une envie pressante de pisser. Je me lève.
— Où tu vas? me lance le truand.
— Je dois pisser.
— Il vaut mieux que tu ailles dehors, remarque la fille ...
... goguenarde en matant ma bite droite comme un i collée à mon ventre. Je t'accompagne, ajoute-t-elle.
Elle fait coulisser la baie vitrée. L'air de la nuit me saisit, il fait frais, mais je m'habitue vite.
— Aller, viens! dit-elle en me saisissant le membre.
— C'est une habitude chez toi?
— Quoi? De mener les mecs par leur bite? Non, enfin pas physiquement. Mais pour une fois que je peux le faire, j'en profite, dit-elle en me souriant.
Son sourire n'est plus du tout agressif. Il est bienveillant même. Comme la main qui me caresse le sexe. Elle m'amène contre un arbre et oriente ma queue vers son tronc. — Vas-y, tu n'as plus qu'à.
—?
— Non je ne vais pas te lâcher, c'est un de mes fantasmes. Tenir la queue d'un mec pendant qu'il pisse. Comme un petit garçon.
— Ça me bloque un peu.
Elle me caresse les fesses et me dit de me décontracter. Je ferme les yeux et me laisse aller. Ses caresses sont agréables et de plus en plus précises sur ma bite, sur mon cul. Dans un instant de relâchement, je pose ma tête sur son épaule. Je sens un jet partir. Elle laisse l'amorce se faire puis arrose l'arbre en dirigeant ma queue comme une lance. Je bande tellement qu'il suffit qu'elle abaisse légèrement ma queue vers le sol pour stopper ma miction et la relâche pour que l'urine reparte en saccades. Elle enfonce un doigt dans mon cul. Il me pénètre sans résistance, pourtant je ne me sentais pas humide. Je me penche un peu pour l'inciter à en rajouter un second. Il entre sans ...