Homejacking
Datte: 05/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cΕur
Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica
... posant son arme loin de nous :
β Surveille-les bien!
Il pince les seins de ma femme et la soulève du sol. Elle crie et se relève.
β Crie ma belle, j'adore ça!
Il tord les mamelons violemment jusqu'à ce que des larmes jaillissent. Sandrine tente de dire quelque chose, mais l'homme libère un sein pour lui flanquer une paire de gifles.
β Ta gueule, salope! Tu l'ouvriras quand je te le dirai, pas avant. C'est compris?
Comme Sandrine ne répond pas, il lui administre deux gifles supplémentaires, plus fortes. Sa tête valdingue dans le sens des gifles. Il répète la question.
β C'est compris?
β Oui, répond Sandrine d'une voix inaudible.
β J'ai rien entendu!
Il renouvelle la paire de gifles en augmentant l'intensité. La question suit.
β Oui, j'ai compris, dit Sandrine de manière audible mais brouillée par les sanglots.
Il la repousse violemment contre le canapé. Elle s'écroule dedans.
β À genoux, salope. Et maintenant je veux savoir où est ton putain de coffre!
β Mais il n'y a pas de coffre ici, pleurniche Sandrine en s'agenouillant.
La fille s'approche de Sandrine et se penche vers elle jusqu'à se trouver quasiment face contre face.
β Tu ne vas pas me dire que tu n'as pas de bijoux! Et que tu ne les ranges pas dans un coffre!
β Si j'ai quelques bijoux mais ils sont juste dans une cassette...
β Et mon cul! Putain, je les ai vus tes bijoux! gueule la fille en arrachant sa cagoule.
Ma femme semble interloquée devant la fille ...
... qu'elle reconnaît.
β Lucia! Tu ne devais pas...
β Ouais, c'est bien moi, la coupe la femme. Ne me dis pas que tu n'as pas paradé avec tes bijoux, si souvent différents, aux fêtes de la boîte et que tu ne t'es pas vantée de leur valeur, et de la sécurité. Hein? Mais peut-être que ton mari n'en savait rien? À voir sa tête...
Effectivement, je ne lui connais pas beaucoup de bijoux. Je ne sais même pas qu'elle leur porte un grand intérêt. Je ne dis rien et tente de retrouver un air neutre.
La dénommée Lucia reprend son discours, tournée vers moi. Elle parait plus remontée contre ma femme que contre le manque d'informations concernant les bijoux. Je vois nettement briller une lueur impétueuse dans son regard. Son visage démasqué est tordu par un sentiment que je ne sais pas déterminer mais dont la dureté est manifeste, soulignée par sa chevelure courte mais d'un roux intense.
Sans lâcher le regard de ma femme, elle s'adresse à moi.
β Tu sais pas tout sur ta femme, d'ailleurs je suis sûre qu'elle te trompe. Sûrement avec un haut placé dans cette putain de boite. Qui lui offre des bijoux de prix. Qui lui permet de jouer à la cheftaine avec les petites mains comme moi, et si elles ont le malheur d'avoir des ennuis avec la loi d'en faire ses esclaves personnelles. Putain de salope!
β Hein, que tu le fais cocu? Avoue, putain!
Elle souligne sa question d'une gifle. Sandrine sanglote mais ne répond rien.
β Je suis bien placée pour savoir que tu trompes ton mari, mais ...