Homejacking
Datte: 05/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica
... pas l'impression que ça te gêne beaucoup qu'on maltraite ta femme? Tu as même l'air d'apprécier le spectacle bougre de salaud!
— Je ne peux rien faire à part vous dire d'arrêter. Ce que je peux dire est que je ne sais vraiment pas où est ce coffre, sinon je vous l'aurais déjà dit. J'ignore tout de ces fameux bijoux. Je n'ai aucun argent liquide à vous donner non plus.
Je prononce ces mots d'un ton résigné et sans conviction, détaché. Comme si tout cela était irréel.
— Tu veux que je te dise, répond la fille, je crois que tu aimes vraiment voir ta femme se faire dominer et que tu aimerais encore plus la voir se faire prendre sous ton nez. Mais elle, elle sait. Et elle va cracher le morceau ou bien elle va connaître quarante-huit heures de folie. Mais après tout c'est peut-être ce qu'elle veut, qui sait? Le jeu de la vérité version hard pendant deux jours sous tes yeux, ce serait pas son fantasme?
Le mec s'est défroqué pendant que la fille faisait l'inverse. Il est monté comme un âne et bande tout autant. La fille le branle et crache sur sa bite, elle passe ce phallus dans la raie de ma femme qui n'esquisse aucune résistance, maintenue par les deux bras puissants de l'homme contre l'accoudoir du canapé. Lucia dirige le gland vers l'anus à perforer. Un ultime jet de salive tombe. Un coup de reins. Un cri de femelle. Un râle de mâle. Un autre coup de reins. Sans attendre, il s'enfonce, profond, puis complètement. Son ventre touche les fesses de Sandrine qui ...
... hurle. De douleur ou de plaisir? De douleur et de plaisir? Je bande, je ne peux m'en empêcher. Le truand la laboure sans relâche, sans pitié. Il la pistonne. Il la défonce. Lucia les abandonne. Elle me regarde et sourit, car je suis sans défense, à genoux, en érection, obscène devant ma femme forcée.
— Elle n'aura pas d'orgasme, me dit-elle, juste très mal au cul. Et la gorge sèche à force de crier.
Le mec se retire lui laissant le cul largement ouvert. Lucia s'approche et directement enfourne trois doigts dans ce trou béant. Sandrine hurle un cri d'outre-tombe. La rousse ne se laisse pas attendrir et vrille les trois doigts dans le forage pour en agrandir le passage. Elle ressort et à deux mains tire sur les bords pour étendre l'ouverture sur laquelle elle crache de dédain puis écartèle à nouveau la rondelle. Les cris en échos la réjouissent et l'encouragent. Elle humecte sa main dans la vulve dégoulinante. Puis elle plonge cette fois la main entière dans le cul offert en scandant « les bijoux, les bijoux ». Je vois le poignet s'enfoncer comme happé par cette bouche goulue et obscène. Sandrine ne crie plus, elle gémit, car le truand lui bâillonne la bouche de sa queue toujours dressée. À mi-avant-bras, Lucia s'arrête et imprime une rotation. L'effet n'est pas celui qu'elle escomptait, car Sandrine semble au bord de la jouissance. Le truand se retire à regret.
— Si tu me dis où sont les bijoux, je te fais jouir...
— S'il te plaît, continue, je t'en supplie! larmoie ...