1. Business, amour et sexe


    Datte: 24/12/2024, Catégories: fh, ff, fbi, couple, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral préservati, fdanus, couplea3, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... vraiment la dernière des connes en matière de relations humaines, je ne savais rien faire à part liguer tout le monde contre moi. J’en aurais pleuré, d’autant qu’elle était plutôt à mon goût la Karine, avec ses lèvres épaisses, son teint méditerranéen, sa courte tignasse sauvage et ses grands yeux de jais, son corps menu, mais gracieux, ses petites fesses qui ondulaient sous sa courte jupe.
    
    — Oui. Tu vis comment, toi, le fait d’aimer les femmes ? Tu es en couple ?
    — J’ai pas envie de te répondre. L’entretien est terminé ?
    
    Je la sentais tendue, mal à l’aise, pas si sûre d’elle que cela, ma « collègue ». Au point où j’en étais, je ne risquais plus grand-chose, je décidai, peut-être dans un moment d’égarement, de tenter le tout pour le tout.
    
    — L’entretien, oui, il est terminé.
    
    Mais je ne bougeai pas, ne voulant pas encore une fois être celle par qui le scandale arrive. Karine se leva, crânement, et se retrouva donc à quelques centimètres de moi, j’entendais et je sentais son souffle sur le haut de ma gorge vu notre différence de taille. Vit-elle mes seins pointer au travers la soie de ma blouse ? Mes abondantes phéromones atteignirent-elles ses sens olfactifs ? Nos corps émirent-ils des messages que nos cerveaux ne parvinrent pas à gérer ? Nul ne le saura jamais.
    
    — Tu es une sacrée salope, sous tes airs de sainte-nitouche, Madame la directrice adjointe. Mais tu me plais, tu me fais mouiller. Continue !
    
    Elle ne refusa pas mon baiser, sa langue chercha même ...
    ... la mienne, nos bouches soudées, nos mains dévolues à l’exploration libre de territoires inconnus.
    
    Quand j’aventurai une des miennes sous sa minijupe, ses lèvres enserrèrent ma langue et la sucèrent avidement. L’humidité rencontrée par mes doigts ne pouvait laisser aucun doute, je glissai ma main dans son string et lui plantai directement mon majeur et mon index dans la chatte. Le râle qui sortit de sa gorge n’évoquait pas vraiment ni le syndicat ni les prud’hommes, alors je me fissublime salope, selon les mots de Bastien, et me mis à la masturber énergiquement, profondément, cherchant ses zones sensibles. Elle gémissait de plus en plus fort, et je sentais son vagin se contracter sur mes doigts.
    
    — Alors, tu aimes ce qu’elle te fait la pimbêche, petite gouinasse ? Et par là, tu aimes aussi ?
    
    Avant même de recueillir son consentement préalable tel que défini par la loi, je laissai mon majeur enrobé de sa mouille s’évader, griffer au passage son périnée, et le lui enfonçai entièrement dans l’anus. Karine avait elle aussi le plaisir sonore, et son accord à ma sodomie digitale se résuma en une longue plainte montant de ses profondeurs, tête renversée, ma bouche sur son cou offert, ma main souillée d’une abondante coulée d’hydromel épais. Nos regards s’évitèrent, je la serrai contre moi, ses bras se refermèrent sur mes hanches. Je ne sais pas si ce sont ses larmes que je sentis couler dans mon cou. C’est elle qui reprit vie en premier.
    
    — Tu ne sais pas dire bonjour, ...