Business, amour et sexe
Datte: 24/12/2024,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
couple,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
préservati,
fdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... l’as bien mérité !
Enragé contre moi, il me laboura la chatte de violents coups de boutoir, faisant trembler le bureau et m’obligeant à me tenir des deux mains au rebord pour ne pas reculer.
— Jouis sur moi, je veux voir jaillir ta colère, crépis-moi le ventre !
Je m’allongeai légèrement en arrière et saisis sa queue dure comme du métal, la branlai furieusement et contemplai, satisfaite, les longs jets crémeux qu’elle expulsa, maculant mon ventre et même la naissance de mes seins.
Bastien se laissa retomber dans son fauteuil, vidé, un peu perdu, peut-être inquiet de mon comportement.
— Tu as été généreux, mon chéri, regarde, même mon soutien-gorge est souillé. Je remercierai Karine de sa contribution indirecte à ton orgasme abondant ! Tu peux m’essuyer, s’il te plaît ? Je n’ose pas remettre ma robe par-dessus ta liqueur !
La semaine suivante, j’insistai pour que Bastien et moi arrivions au bureau ensemble, main dans la main, et je multipliai les occasions de l’embrasser au vu et au su de tout le monde. Notre relation n’était plus un secret pour personne et je m’en réjouissais. Ce mercredi-là, je convoquai Karine.
Je la connaissais un peu, engagée comme réceptionniste à mi-temps il y a environ une dizaine d’années, pas spécialement épanouie, mais pas non plus désagréable. Un peu plus jeune que moi, de taille moyenne, les cheveux courts et la peau mate, un joli visage encadré par sa chevelure noire, elle avait un petit côté androgyne qu’elle ...
... contrebalançait par une grande féminité vestimentaire. Toujours en jupe, souvent courte, et chaussures à talons, maquillage soigné et rouge à lèvres, ses grandes lunettes lui donnaient un air intellectuel et sérieux. Je ne savais rien de sa vie privée, et je m’en foutais complètement.
— Bonjour Karine, merci d’être venue. Assieds-toi.
— Bonjour, Magali, quand la patronne te convoque, tu ne peux pas tellement faire autrement que de venir.
— C’est vrai. Je présume que tu écoutes radio corridors, alors tu sais pourquoi tu es là.
— Oui, oui, tu vas reprendre la boutique avec ton… avec Monsieur C. et vous ne voulez pas garder tout le monde, le tri a déjà commencé, je crois. Moi, j’aimerais rester.
— Ah oui ? Je ne t’ai encore rien demandé, tu anticipes !
— Je ne veux pas te faire perdre ton temps.
Elle avait un certain aplomb, la Karine, ça m’agaçait un peu. Par contre elle était plutôt mignonne, dans sa minijupe en tweed et ses bas résille, que ses jambes croisées me permettaient de regarder à la dérobée. Son petit haut moulant lui allait bien, sa menue poitrine convenant parfaitement à ce type de vêtement.
— Tu es mariée, tu as des enfants ?
— En quoi ça change quelque chose ? Tu travailles pour les allocs maintenant ? Mais puisque tu veux le savoir, non je ne suis pas mariée et non, je n’ai pas d’enfants. De toute façon, je ne mélange pas boulot et vie de famille.
— Belle éthique professionnelle, bravo. Mais c’est dommage que tu ne l’appliques pas à tout le monde.
Je vis ...