Business, amour et sexe
Datte: 24/12/2024,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
couple,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
préservati,
fdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
— Il a faim, je vais le nourrir maintenant. Tu veux rester ?
— Non, je ne crois pas, tu dois garder une certaine intimité avec ton fils, et puis j’avais dit à Bastien que je ne ferais pas trop long.
Séverine revint au salon avec Antoine dans les bras, un spectacle magnifique. J’attendis qu’elle s’installe avec lui dans le canapé pour lui donner le sein et les contemplai un petit moment, troublée, émue, à la fois heureuse et inquiète, mes idées mélangées sans aucune cohérence.
Je m’approchai doucement, embrassai brièvement la jeune maman sur les lèvres.
— Tu es très belle en maman, tu sais, et désormais c’est un statut que nous partageons ! À bientôt, ma chérie.
De retour chez moi, je retrouvai Bastien, plongé dans ses calculs, il ne désarmait pas. Je lui demandai s’il avait l’intention de passer tout le week-end la tête dans ses papiers, histoire de me préparer à ce qui m’attendait si je le suivais dans son projet.
— Ne sois pas aussi négative ! Bon, j’arrête, et on va se balader. Tu as vu Séverine et Julien ? Ils savent que tu hébergeras de temps à autreun lèche-cul drogué au boulot et qui néglige sa compagne ? Cela doit enchanter ta jolie voisine, non ?
— Dis sur ce ton, cela ne mérite même pas que je m’abaisse à te répondre.
— Ce que tu es susceptible dès que l’on évoque ton amour d’à côté ! Tu les as informés de ma présence ?
— Oui, mais Julien n’était pas là, Séverine lui dira ce soir qu’ils ont un nouveau ...
... voisin. Je me suis excusée pour mon plaisir bruyant, mais ma chérie en a l’habitude, elle n’a rien dit à part un sourire complice. Je ne sais pas si Julien a fait des remarques.
Le week-end passa rapidement, la semaine aussi, et sur les deux banquiers contactés par Bastien, l’un trouva le projet financièrement solide. Il accepta de mettre à disposition les fonds nécessaires au lancement de la future entreprise, en échange de quelques garanties tout à fait raisonnables. Bastien exultait, moi un peu moins, craignant le moment où l’on irait poser notre démission.
D’un commun accord, nous sollicitâmes un entretien conjoint avec le directeur et propriétaire de l’entreprise, un monsieur de soixante-seize ans pour qui cette dernière représentait toute sa vie.
— Bonjour Magali, bonjour Monsieur C…, je suis un peu surpris de votre demande conjointe, d’autant que votre collaboration est excellente et que les résultats suivent. Que puis-je faire pour toi, Magali ? Et pour vous, Monsieur ?
Je n’avais pas dit à Bastien que le directeur me tutoyait, puisqu’il m’avait engagée il y a déjà plus de vingt ans, « une gamine timide, mais diplômée et sérieuse » avait-il alors dit. Fort heureusement, c’est Bastien qui prit la parole, bien que de plus en plus confiante en moi j’aurais eu de la peine à annoncer à mon vieux patron que je voulais le quitter, argumentant qu’il n’était qu’un vieux crabe entouré d’incapables. Je l’aimais bien moi, ce « Papy » (ainsi surnommé dans l’entreprise) ...