Huit femmes
Datte: 24/12/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
vacances,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
fdanus,
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... de mouille… Si ! Je hurle, je borborygme plutôt, ma jouissance dans le con de Janine quand un pouce me pénètre le cul et tente de rejoindre ses frères au fin fond de moi.
— Qu’est-ce qu’elle coule !
C’est sympa, les deux se sont exclamées en chœur et j’ai cru entendre qu’elles n’étaient pas les seules à constater le fait. Je pourrais en dire autant, même si ma victime à moi n’a pas semblé jouir. Décevant, frustrant, humiliant ! Tant pis, je me fais une raison, au moins c’est terminé… Erreur !
— Ouvre ta moule, Chantal ! Vite !
C’est la voix de Bénédicte. J’obéis, je n’ai pas d’autre choix. Je croche dans mes lèvres, je suis résignée. J’écartèle ma vulve à deux mains, désir veule d’exagérer ma soumission.
Du mouvement entre mes jambes, un mollet frôle mon avant-bras. Je frissonne. Le silence m’entoure. Temps suspendu. Inquiétude.
Ouch ! La puissance du jet me surprend, l’endroit où il frappe aussi. Bénédicte pisse dans ma chatte écarquillée, elle use de mon vagin comme d’un Bourdaloue. Ersatz miniature, en plus, qui déborde rapidement. Je suis nettoyée de l’intérieur, la cyprine le cède à l’urine. Ça coule par-derrière, entre mes fesses, sur mon œillet éclos, dans ma rosette ouverte. Ça coule par-devant, sur mon bouton dardé, dans mes poils embrouillés, à rebours vers mes seins. Que dire de ma honte ?
Que sa cause me délivre à la fois du voile et du ...
... bâillon ! Avant qu’un flot impur n’ait mouillé sa tunique, Janine s’est levée : je respire et je vois. La mignonne petite chatte de Bénédicte n’expulse plus que de brèves ondées entre ses lèvres nues. Sa miction s’épuise. Encore un crachouillis et les jambes qui dominent ma fourche s’éloignent. Mes mains lâchent ma vulve et mes cuisses retombent. Un surplus du mélange sourd en filet de ma fente.
— Allez les filles, on rentre, annonce Colette en me tendant la main pour me redresser.
Je demeure immobile. Debout, mon vagin dégorge son contenu. Incroyable qu’il y en ait tant. Je dois pisser sans m’en apercevoir ! Je suis souillée des yeux aux orteils. Je grelotte malgré la chaleur. Je tremble de me sentir avilie et heureuse. Je n’ai pas le cœur de bouger ni d’affronter les regards des femmes et des gamines. Juste celui de Colette qui m’entraîne.
— Venez Chantal, vous sècherez en marchant… Tu as été une bonne soumise, ajoute-t-elle.
Le vouvoiement et le compliment me ragaillardissent. La fierté revenue me pousse à crâner.
— Merci Maîtresse. Je serai encore plus courageuse, ce soir, entre vos mains. Vous pourrez…
— Ce sera entre celles de Marie, me coupe-t-elle en riant. J’ai décidé de lui déléguer la direction des jeux. Elle veut apprendre. J’espère bien que tu ne me décevras pas !
Le soleil est encore haut, mais le ciel m’est tombé sur la tête.
À suivre