Huit femmes
Datte: 24/12/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
vacances,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
fdanus,
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... j’avais froid, et maintenant, j’ai chaud. L’ombre des pins m’a fui, la lumière m’aveugle, le soleil me baigne, et moi, je baigne dans mon jus. Andréa me regarde. Ses yeux d’émeraude m’étudient, hésitant entre approbation et doute. Je balance entre honte et fierté. Toujours ces sentiments contradictoires, mais le second l’emporte de plus en plus souvent. Je souris à ma voyeuse, espérant une complicité que je sollicite trop tard. Elle s’est tournée vers Colette.
— J’ai un petit besoin pressant, ma Reine. Je peux ?
— Je t’en prie, ma chérie. Chantal est là pour te servir.
Hé ! Qu’est-ce qu’elle croit, Andréa ? Que je vais la tenir sur les fonts baptismaux pendant qu’elle arrose les herbes sèches ? Mais non ! Pas besoin d’explications pour comprendre.
— Ne bouge pas ma belle, me le confirme-t-elle en enlevant sa tunique à la volée.
Elle est étonnamment souple et agile, malgré sa corpulence. Elle m’enjambe dans la foulée et s’accroupit au-dessus de moi. Sa lourde poitrine ballotte dans le mouvement, son buste m’ombrage, et sa chatte me nargue. J’en avais eu un aperçu, ce matin et tout à l’heure. Mais, là, en gros plan, pas un détail qui échappe à ma vue !
Entre les fortes cuisses, parsemées de taches de rousseur, flamboie une touffe profuse qui, encore que bien taillée, couvre le mont de Vénus, encadre la fente et s’éteint sur le périnée. Ah, l’anus est lisse et rose. Le capuchon du clitoris se perd dans les poils bouclés, mais les grandes lèvres s’en dégagent, ...
... longues turgescences d’où s’échappent les petites. Enfin, petites, disons courtes ! Tout est rose aussi, dans des nuances plus ou moins vives, et l’entaille s’ouvre sur un corail rose saumon, miroitant de fluidités abondantes.
Leurs fragrances me seraient agréables si je ne m’inquiétais de ce qui va suivre. Ma seconde douche dorée se précise. Probable, d’ailleurs, que ce soit la deuxième. Je connais, d’accord, mais à deux. Devant Marie et Anaïs, sans parler des autres, c’est différent. Comme situation humiliante, je suis servie ! J’aimerais fermer les paupières pour oublier les visages autour de moi, m’isoler, mais la curiosité perverse qui me taraude me force à les garder ouvertes.
L’impression que tout se passe au ralenti. La fleur qui s’ouvre. Le corail qui palpite. Le méat qui s’arrondit. Le jet qui jaillit… Sensation déjà presque familière et banale d’un liquide tiède qui m’inonde la poitrine. Il coule sur mon cou, il rigole entre mes seins, il dégouline vers mes aisselles, il me couvre le ventre, il se multiplie en ruisselets sur mes hanches et dans mes aines… Il semble inépuisable, rebondissant de saccade en saccade avant de se tarir enfin dans les dernières contractions qui éparpillent des gouttelettes irisées.
Fini ! Andréa se relève. Quelques ultimes gouttes glissent de sa vulve et tombent sur ma figure. Deux ou trois atteignent ma bouche. Réaction instinctive, et curiosité – toujours ! – je passe ma langue sur mes lèvres. Je m’attends à des saveurs fauves sur ...