1. Huit femmes


    Datte: 24/12/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, inconnu, vacances, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, ffontaine, Masturbation fdanus, uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Chacune de nous a raconté succinctement sa vie et les faits les plus importants qui l’avaient marquée. Anaïs et Marie ont été tout particulièrement sollicitées. Je suppose que Colette et ses amies désiraient se faire une idée de leur maturité psychologique. Cet échange sans détour nous a occupées longtemps, l’Eau de Figue de Colette y contribuant aussi. Et puis est venu le moment d’aller dormir.
    
    Je n’ai pas eu à choisir, Colette a décidé pour moi : je coucherai avec elle. Nous sommes remontées à l’étage pour la distribution des lits dans la « chambre d’amies ». Les couettes douillettes de ce printemps avaient disparu. Un simple drap recouvrait les matelas, avec une alèse dessous, en cas de petits débordements comme l’a précisé Colette. Un autre drap était plié en bas, si d’aventure la fin de nuit se faisait un peu fraîche. Une boîte de mouchoirs en papier, un flacon de gel et les ustensiles allant avec étaient posés sur les tablettes, tout prêts à servir, délicate attention de l’hôtesse des lieux…
    
    La répartition des couchages a été vite faite. Janine et Martine partageaient déjà un grand lit. Andréa occupait à son aise l’un des deux singles. Marie et Anaïs se sont vu attribuer ipso facto le second lit à deux places. Inutile en effet de froisser le drap du dernier, réservé en principe pour Bénédicte. Un arrangement à la vérité purement théorique et valable au mieux pour le premier soir. Dans la pratique, chacune serait libre de papillonner d’un lit à l’autre… Marie était ...
    ... certes un peu triste d’être séparée de moi, mais elle commençait à apprécier la compagnie d'Anaïs et, pas plus que celle-ci, n’a osé mettre en cause ces dispositions.
    
    J’ai suivi Colette dans sa chambre tandis que ces dames et jeunes filles s’apprêtaient pour la nuit. Rien de plus simple pour elles en vérité : il leur a suffi d’envoyer par-dessus les moulins leur tenue virginale pour se trouver en tenue de sommeil, ou d’autres occupations, d’ailleurs.
    
    — Bien pratiques, ces tuniques, ai-je remarqué pendant que nous faisions voler les nôtres. Une idée à vous ? Bravo !
    — Vous en féliciterez Bénédicte, a décliné Colette. C’est elle qui l’a eu. Elle a proposé à Martine d’habiller ainsi leurs soumis et soumises avant de les travailler. Le genre « bourgeois de Calais », revu façon Vestales… Martine en a commandé un stock et m’en a apporté quelques-unes.
    — Nous sommes donc toutes ici des soumises, ai-je ri.
    — Chacune son tour, ma chérie, chacune son tour ! Mais venez donc me rejoindre, Chantal. J’ai hâte de retrouver la douceur de votre peau.
    
    Je me suis livrée à elle totalement, dans un profond sentiment de bien-être enchanteur. Avec sa délicatesse habituelle, elle a respecté ma fatigue. J’étais vannée, vidée au sens propre par les orgasmes du jour. Elle m’a caressée tendrement, doucement, longuement, sans rien demander en échange. C’est moi qui ai éprouvé le besoin absolu de la faire jouir. Pas l’envie, je dis bien le besoin. Le besoin prégnant de la rendre heureuse dans ...
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